Google LatLong: Exploring climate solutions: One tour at a time: "Exploring climate solutions: One tour at a time
Monday, December 14, 2009 at 9:25 AM
As part of the lead-up to COP15, we have been releasing a series of Google Earth tours that illustrate climate change issues and solutions. Many of these include tours created by NGOs, which guide you through their efforts to tackle some of the impacts of our changing climate on human life, wildlife, and our environment.
Recently, we have added six new tours to the series, and they cross a wide breadth of issues, including climate change science, human health, renewable energy, wildlife migration and ocean conservation.
View them now at www.google.com/cop15."
Lire le blog sur ce sujet
articles ou sites dans les domaines connexes à l'environnement pour le CTTEI ou le progamme "Environnement et sécurité et santé au travail" du cégep de Sorel-Tracy
mercredi 16 décembre 2009
mercredi 9 décembre 2009
Nouvel outil éducatif La vie en vert, un monde en paix offert au personnel enseignant canadien
Groupe CNW
Nouvel outil éducatif La vie en vert, un monde en paix offert au personnel enseignant canadien
mardi 8 décembre 2009
mardi 24 novembre 2009
mercredi 4 novembre 2009
vendredi 4 septembre 2009
La crise des déchets électroniques empire au niveau mondial
La bonne nouvelle, c’est que les politiques de réduction des DEEE devraient commencer à faire sentir leurs effets à partir de 2016. Les armes clés contre cette pollution, rappelle l’étude, sont les lois, les initiatives des entreprises privées pour réduire leur impact, et la prise de conscience des consommateurs. Pour Pike Research, le principal challenge est la prise de conscience du grand public et des salariés dans l’entreprise.
Lire cet article
Libellés :
déchets électroniques,
Environnement.
lundi 31 août 2009
Retour au travail chez Rio Tinto Fer et titane
Retour au travail chez Rio Tinto Fer et titane... Sorel-Tracy, (cjso) 31 Août 2009 - Après 8 semaines de suspension des opérations de l’entreprise, 1 800 des 2 000 employés de Rio Tinto Fer et titane seront de retour au poste le mardi, 8 septembre prochain.
Plus de gens que d’habitudes reprendront donc du service cette année au retour du congé de la fête du travail à Sorel-Tracy.
On se souvient que le ralentissement économique mondial avait forcé la direction à annoncer, le 6 avril dernier, une suspension des opérations, une première en près de 60 ans d’existence de l’entreprise.
Conséquence de cette reprise : la mise à l’évent, c'est-à-dire l’émission d’une fumée due au brûlage de gaz depuis l’usine de réduction.
Plus de gens que d’habitudes reprendront donc du service cette année au retour du congé de la fête du travail à Sorel-Tracy.
On se souvient que le ralentissement économique mondial avait forcé la direction à annoncer, le 6 avril dernier, une suspension des opérations, une première en près de 60 ans d’existence de l’entreprise.
Conséquence de cette reprise : la mise à l’évent, c'est-à-dire l’émission d’une fumée due au brûlage de gaz depuis l’usine de réduction.
Libellés :
Rio Tinto Group,
Sorel-Tracy Quebec
lundi 20 juillet 2009
Eau : un équilibre à rétablir
Eau : un équilibre à rétablir: "Eau : un équilibre à rétablir
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Kazimir Olechnowicz, Président-directeur général de CIMA+
Édition du lundi 20 juillet 2009
Mots clés : Institut économique de Montréal, Pierre Gingras, Exportation, Eau, Québec (province)
Le débat sur l'exportation de l'eau soulevé la semaine dernière par l'Institut économique de Montréal (IEDM) devrait intéresser quiconque est préoccupé par l'avenir économique du Québec. En effet, que l'on soit ou non d'accord avec le projet spécifique de l'Eau du Nord proposé par l'ingénieur F. Pierre Gingras, la prochaine grande richesse à exploiter au Québec sera l'eau. Pas simplement l'eau en tant que force hydraulique permettant de produire de l'énergie, comme on s'en sert depuis plusieurs décennies, mais bien l'eau en tant que substance à consommer et à utiliser.
On a beau vouloir se fermer les yeux et prétendre que l'eau est un patrimoine sacré auquel il ne faut pas toucher, les pressions vont aller en augmentant et ce débat aura inévitablement lieu.
Valeur de l'eau
En effet, la plupart des études qui se penchent sur l'impact du réchauffement planétaire prédisent que les précipitations de pluie et de neige vont probablement s'accroître dans le nord du continent, alors qu'elles vont diminuer dans le sud. L'eau du Nord, pour reprendre le titre du projet de M. Gingras, va donc devenir relativement de plus en plus abondante et prendre de la valeur.
Pendant ce temps, les populations du sud -- et pas seulement nos voisins américains, qui ont les moyens de développer des solutions de remplacement, mais aussi des populations très pauvres et vulnérables du Tiers Monde -- vont être de plus en plus touchées par le «stress hydrique», pour reprendre le jargon courant. C'est-à-dire que la demande pour l'eau dépassera les ressources disponibles.
Allons-nous simplement nous croiser les bras, nous asseoir sur nos gigantesques ressources et dire aux habitants du reste du monde de se débrouiller avec ce qu'ils ont? Et ce faisant, laisser passer une gigantesque occasion de profiter de cette ressource naturelle dont nous sommes si bien pourvus? Est-ce la solidarité planétaire qu'on veut mettre de l'avant?
Les pluies abondantes des dernières semaines, qui ont gâché les vacances de bien des gens, ne devraient pas nous faire oublier que le problème nous touche aussi. Le niveau des Grands Lacs par exemple baisse depuis plusieurs années sans qu'on sache trop pourquoi. Et les changements climatiques risquent d'aggraver cette situation, ce qui aura inévitablement des répercussions sur le Saint-Laurent.
Que préfère-t-on? Subir les effets écologiques, économiques et humains d'une baisse des débits chez nous, ou bien utiliser les surplus d'eau qui vont s'accumuler au nord -- avec, bien sûr, toutes les précautions nécessaires pour limiter l'impact sur l'environnement -- pour compenser cette baisse?
Certaines personnes préoccupées par l'environnement souhaitent garder le sujet tabou par peur de briser un équilibre naturel qui serait inhérent à la situation qui prévaut aujourd'hui. Elles devraient comprendre qu'au contraire il ne s'agit pas de briser un équilibre, mais de contribuer à le refaire.
Rétablir l'équilibre
Qu'on le veuille ou non, l'être humain fait partie de la nature. La demande des humains pour l'eau va surtout augmenter dans le sud. Les changements climatiques -- qu'ils soient ou non principalement une conséquence de l'activité humaine -- vont quant à eux probablement diminuer la quantité d'eau disponible au sud et l'accroître dans le nord. Ces surplus d'eau vont simplement se jeter dans la baie James et en fin de compte dans la mer, alors qu'on craint justement une hausse du niveau des mers.
Pourquoi ne pas chercher des façons de profiter de cette situation en rétablissant au moins partiellement l'équilibre? On pourrait soutenir que c'est la position la plus écologique à adopter, bien plus que celle qui propose de ne rien faire.
Il existe de nombreuses façons de tirer profit des ressources hydriques abondantes du Nord, celle mise de l'avant par l'IEDM et l'ingénieur F. Pierre Gingras étant une parmi bien d'autres. L'important est d'ouvrir le débat et d'au moins considérer la possibilité de faire les études pertinentes. Le bien-être et la prospérité futurs des Québécois -- mais aussi de nombreuses autres populations -- pourraient bien dépendre de ce que nous déciderons de faire à cet égard."
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Kazimir Olechnowicz, Président-directeur général de CIMA+
Édition du lundi 20 juillet 2009
Mots clés : Institut économique de Montréal, Pierre Gingras, Exportation, Eau, Québec (province)
Le débat sur l'exportation de l'eau soulevé la semaine dernière par l'Institut économique de Montréal (IEDM) devrait intéresser quiconque est préoccupé par l'avenir économique du Québec. En effet, que l'on soit ou non d'accord avec le projet spécifique de l'Eau du Nord proposé par l'ingénieur F. Pierre Gingras, la prochaine grande richesse à exploiter au Québec sera l'eau. Pas simplement l'eau en tant que force hydraulique permettant de produire de l'énergie, comme on s'en sert depuis plusieurs décennies, mais bien l'eau en tant que substance à consommer et à utiliser.
On a beau vouloir se fermer les yeux et prétendre que l'eau est un patrimoine sacré auquel il ne faut pas toucher, les pressions vont aller en augmentant et ce débat aura inévitablement lieu.
Valeur de l'eau
En effet, la plupart des études qui se penchent sur l'impact du réchauffement planétaire prédisent que les précipitations de pluie et de neige vont probablement s'accroître dans le nord du continent, alors qu'elles vont diminuer dans le sud. L'eau du Nord, pour reprendre le titre du projet de M. Gingras, va donc devenir relativement de plus en plus abondante et prendre de la valeur.
Pendant ce temps, les populations du sud -- et pas seulement nos voisins américains, qui ont les moyens de développer des solutions de remplacement, mais aussi des populations très pauvres et vulnérables du Tiers Monde -- vont être de plus en plus touchées par le «stress hydrique», pour reprendre le jargon courant. C'est-à-dire que la demande pour l'eau dépassera les ressources disponibles.
Allons-nous simplement nous croiser les bras, nous asseoir sur nos gigantesques ressources et dire aux habitants du reste du monde de se débrouiller avec ce qu'ils ont? Et ce faisant, laisser passer une gigantesque occasion de profiter de cette ressource naturelle dont nous sommes si bien pourvus? Est-ce la solidarité planétaire qu'on veut mettre de l'avant?
Les pluies abondantes des dernières semaines, qui ont gâché les vacances de bien des gens, ne devraient pas nous faire oublier que le problème nous touche aussi. Le niveau des Grands Lacs par exemple baisse depuis plusieurs années sans qu'on sache trop pourquoi. Et les changements climatiques risquent d'aggraver cette situation, ce qui aura inévitablement des répercussions sur le Saint-Laurent.
Que préfère-t-on? Subir les effets écologiques, économiques et humains d'une baisse des débits chez nous, ou bien utiliser les surplus d'eau qui vont s'accumuler au nord -- avec, bien sûr, toutes les précautions nécessaires pour limiter l'impact sur l'environnement -- pour compenser cette baisse?
Certaines personnes préoccupées par l'environnement souhaitent garder le sujet tabou par peur de briser un équilibre naturel qui serait inhérent à la situation qui prévaut aujourd'hui. Elles devraient comprendre qu'au contraire il ne s'agit pas de briser un équilibre, mais de contribuer à le refaire.
Rétablir l'équilibre
Qu'on le veuille ou non, l'être humain fait partie de la nature. La demande des humains pour l'eau va surtout augmenter dans le sud. Les changements climatiques -- qu'ils soient ou non principalement une conséquence de l'activité humaine -- vont quant à eux probablement diminuer la quantité d'eau disponible au sud et l'accroître dans le nord. Ces surplus d'eau vont simplement se jeter dans la baie James et en fin de compte dans la mer, alors qu'on craint justement une hausse du niveau des mers.
Pourquoi ne pas chercher des façons de profiter de cette situation en rétablissant au moins partiellement l'équilibre? On pourrait soutenir que c'est la position la plus écologique à adopter, bien plus que celle qui propose de ne rien faire.
Il existe de nombreuses façons de tirer profit des ressources hydriques abondantes du Nord, celle mise de l'avant par l'IEDM et l'ingénieur F. Pierre Gingras étant une parmi bien d'autres. L'important est d'ouvrir le débat et d'au moins considérer la possibilité de faire les études pertinentes. Le bien-être et la prospérité futurs des Québécois -- mais aussi de nombreuses autres populations -- pourraient bien dépendre de ce que nous déciderons de faire à cet égard."
lundi 27 avril 2009
Développement durable le journal : Le Canada dans le rouge
Développement durable le journal : Le Canada dans le rouge: "Le Canada vient de dévoiler à l’ONU un bilan décevant de ses émissions de CO2. L’ensemble du pays, dont le Québec, affiche des résultats bien loin des engagements pris dans le cadre de Kyoto. La hausse a été de 4% de 2006 à 2007, soit près de 34% au-dessus des objectifs prévus par le Protocole. Les centrales thermiques, les transports et la production de pétrole seraient parmi les principaux responsables de ces mauvais chiffres.
L’ONU s’était alarmé, en novembre dernier, à la veille de l’ouverture de la conférence sur le climat de Poznan, de l’augmentation de 2,3% des émissions de CO2 des 40 pays industrialisés entre 2000 et 2006. Le Canada vient de confirmer cette tendance, dévoilant une nouvelle hausse de ses émissions, et ce malgré ses engagements de réduction. A huit mois des nouveaux engagements qui doivent être pris par la communauté internationale, en décembre prochain, à Copenhague, cette annonce est une véritable douche froide pour la communauté internationale.
Le pays des érables vient ainsi de révéler des chiffres bien loin des objectifs initiaux que lui imposaient le protocole de Kyoto. Ses émissions de gaz à effet de serre ont bondi de 4 % de 2006 à 2007 pour atteindre les 747 mégatonnes (Mt) d’équivalent de dioxyde de carbone, soit un écart de 33,8 % par rapport au niveau cible de 558,4 Mt établi lors du Protocole de Kyoto, signé par le Canada. Des chiffres qui se retrouvent au Québec, qui est passé de 82,6 Mt en 2006 à 85,7 Mt en 2007, soit une augmentation comparable de 3,8 %. En cause : les centrales thermiques (+1,2 Mt), les transports (+2,1 Mt) et les productions gazières et pétrolières, considérés comme les principaux responsables de la hausse."
Lire cet article en version originale.
L’ONU s’était alarmé, en novembre dernier, à la veille de l’ouverture de la conférence sur le climat de Poznan, de l’augmentation de 2,3% des émissions de CO2 des 40 pays industrialisés entre 2000 et 2006. Le Canada vient de confirmer cette tendance, dévoilant une nouvelle hausse de ses émissions, et ce malgré ses engagements de réduction. A huit mois des nouveaux engagements qui doivent être pris par la communauté internationale, en décembre prochain, à Copenhague, cette annonce est une véritable douche froide pour la communauté internationale.
Le pays des érables vient ainsi de révéler des chiffres bien loin des objectifs initiaux que lui imposaient le protocole de Kyoto. Ses émissions de gaz à effet de serre ont bondi de 4 % de 2006 à 2007 pour atteindre les 747 mégatonnes (Mt) d’équivalent de dioxyde de carbone, soit un écart de 33,8 % par rapport au niveau cible de 558,4 Mt établi lors du Protocole de Kyoto, signé par le Canada. Des chiffres qui se retrouvent au Québec, qui est passé de 82,6 Mt en 2006 à 85,7 Mt en 2007, soit une augmentation comparable de 3,8 %. En cause : les centrales thermiques (+1,2 Mt), les transports (+2,1 Mt) et les productions gazières et pétrolières, considérés comme les principaux responsables de la hausse."
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lundi 20 avril 2009
L’Or bleu tibétain et l’intarissable soif de puissance de la Chine | Infoguerre
Pourquoi les Chinois tiennent-ils tant à contrôler le Tibet? Voici, probablement une partie de la réponse.
11-12-2008 dans Matrices stratégiques
Château d’eau de l’Asie, le Tibet est le berceau de la plupart des grands fleuves qui irriguent les pays asiatiques. On compte notamment le Brahmapoutre (Chine, Inde, Bengladesh), le Mékong (Chine, Myanmar, Laos, Thaïlande, Cambodge, Viêt Nam), l’Indus (Inde, Pakistan) et enfin le Fleuve Jaune et le Fleuve bleu (Chine). Pas moins de trois milliards de personnes vivent de ces ressources d’eau. Quatrième plus grand réservoir d’eau douce de la planète, le Toit du Monde est un enjeu stratégique pour l’ensemble de l’Asie et plus particulièrement pour la Chine qui y voit un moyen d’assouvir ses aspirations d’accroissement de puissance économique et politique.
L’eau, une arme politique au service de la stratégie chinoise
L’eau est source de vie. Qui tient l’approvisionnement en eau, tient le pouvoir. Les différentes dynasties chinoises l’avaient très bien compris. Ainsi l’histoire de l’Empire chinois est rythmée par la recherche de la maîtrise de cette ressource. Cette volonté se caractérise dans les idéogrammes mêmes du terme Chine, qui comprend l’idée de la maîtrise des fleuves. Les différentes politiques économiques doublées du rapide développement industriel n’ont fait qu’aggraver la situation originelle de la Chine : assèchement des sols, pollution, destruction des ressources halieutiques et des écosystèmes, intrusion d’eau saline dans les nappes phréatiques. L’eau est restée au cœur des préoccupations de la Chine. Dans ce processus de stratégie économique et d’accroissement de puissance, les eaux du Tibet sont vitales. Déjà en 2003 sur les 45000"
lire la suite de cet article sur "Infoguerre"
11-12-2008 dans Matrices stratégiques
Château d’eau de l’Asie, le Tibet est le berceau de la plupart des grands fleuves qui irriguent les pays asiatiques. On compte notamment le Brahmapoutre (Chine, Inde, Bengladesh), le Mékong (Chine, Myanmar, Laos, Thaïlande, Cambodge, Viêt Nam), l’Indus (Inde, Pakistan) et enfin le Fleuve Jaune et le Fleuve bleu (Chine). Pas moins de trois milliards de personnes vivent de ces ressources d’eau. Quatrième plus grand réservoir d’eau douce de la planète, le Toit du Monde est un enjeu stratégique pour l’ensemble de l’Asie et plus particulièrement pour la Chine qui y voit un moyen d’assouvir ses aspirations d’accroissement de puissance économique et politique.
L’eau, une arme politique au service de la stratégie chinoise
L’eau est source de vie. Qui tient l’approvisionnement en eau, tient le pouvoir. Les différentes dynasties chinoises l’avaient très bien compris. Ainsi l’histoire de l’Empire chinois est rythmée par la recherche de la maîtrise de cette ressource. Cette volonté se caractérise dans les idéogrammes mêmes du terme Chine, qui comprend l’idée de la maîtrise des fleuves. Les différentes politiques économiques doublées du rapide développement industriel n’ont fait qu’aggraver la situation originelle de la Chine : assèchement des sols, pollution, destruction des ressources halieutiques et des écosystèmes, intrusion d’eau saline dans les nappes phréatiques. L’eau est restée au cœur des préoccupations de la Chine. Dans ce processus de stratégie économique et d’accroissement de puissance, les eaux du Tibet sont vitales. Déjà en 2003 sur les 45000"
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Réflexion durable: Les guerres de l'eau? Stratégies de puissance et de survie.
De nombreux avis d’experts, exposés dans des ouvrages récents, mettent en lumière les problématiques de l’eau, ressource vitale pour l’avenir du monde et enjeu stratégique.
Force est de constater que l'accès à cette ressource est inégal selon les niveaux de vie des populations.
Des populations vivant dans des régions à l’eau abondante (Afrique Equatoriale) ont des problèmes d’accès à l’eau potable alors que certains Etats (Israël, Sud Ouest des Etats-Unis), se développant dans des régions peu hospitalières de ce point de vue, réussissent à y accéder de manière efficace."
lire cet article et consulter les documents reliés
Force est de constater que l'accès à cette ressource est inégal selon les niveaux de vie des populations.
Des populations vivant dans des régions à l’eau abondante (Afrique Equatoriale) ont des problèmes d’accès à l’eau potable alors que certains Etats (Israël, Sud Ouest des Etats-Unis), se développant dans des régions peu hospitalières de ce point de vue, réussissent à y accéder de manière efficace."
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vendredi 17 avril 2009
Lampes à économie d’énergie : l’ennemi à combattre ?
Les ampoules fluo-compactes, dites à économie d’énergie, sont-elles le nouvel ennemi écologique - et économique - à combattre ? Justifient-elles réellement de remplacer les ampoules d’Edison ? A l’heure où les ampoules à économie d’énergie n’ont jamais été autant promues - au point de remplacer très prochainement les ampoules à incandescence -, la question a de quoi faire sourire. Elle est pourtant très sérieuse et la réponse, pas si évidente.
Un récent article publié par Michael Ivanco, un scentifique de renom de l’Atomic Energy du Canada, du professeur Bryan Karney et d’un de ses étudiants Kevin Waher du département du génie civil de l’université de Toronto, jette le discrédit sur une idée préconçue.
L’efficacité énergétique : un calcul à courte vue ?
Sur les ampoules à incandescence, entre 5 et 10% de la consommation d’électricité seulement est utilisée pour son objectif : l’éclairage. A titre de comparaison, les ampoules fluo-compactes (dites “à économie d’énergie”) sont 4 à 5 fois plus efficaces. C’est cette différence qui a convaincu nombre de gouvernements d’interdire la vente des ampoules à incandescence. L’Union européenne a ainsi décidé de les retirer progressivement du marché entre 2009 et 2012. Mais c’est oublier les effets indirects. Sur les ampoules à incandescence, la majorité de l’électricité consommée a comme particularité de… chauffer, avec un rendement comparable à celui d’un chauffage électrique. Le reste de la réflexion intellectuelle va de soi : le remplacement par des ampoules fluo-compactes coûte de l’argent, et a pour effet pervers de décharger plus encore la charge du chauffage sur les appareils de chauffage. Un raisonnement qui ne tient évidemment que lorsque le foyer a besoin d’être chauffé. C’est exactement comme vider un verre, pour le remplir à côté. Une fausse économie en somme.
Des situations perverses
Prenons maintenant un cas plus “pervers” : un pays du nord de l’Europe (fortement consommateurs de gaz pour se chauffer) qui déciderait d’imposer le remplacement de toutes les ampoules à incandescence au profit d’ampoules à économie d’énergie. Ce remplacement à grande échelle reviendrait donc à utiliser moins d’énergie “propre” et plus de gaz naturel pour compenser l’énergie perdue. Si limiter la consommation de gaz serait un réel objectif, ce pays aurait tout intérêt à garder ses ampoules à incandescence durant au moins toute la période de chauffe, soit… 9 mois sur 12.
Ampoules à économie d’énergie : pour quelles situations ?
Cet exercice ne doit pas faire oublier les réels avantages des ampoules à économie d’énergie. Si elles sont - on l’a vu - peu adaptées aux pays froids, elles sont au contraire particulièrement efficaces pour les pays plus chauds. Prenez une entreprise située en Californie. Ici, peu de chauffage, mais une climatisation qui tourne 9 mois sur 12. Les ampoules à incandescence, qui chauffent, non seulement consomment beaucoup d’électricité, mais en plus surchargent les appareils de climatisation, très gourmands en électricité. Ces ampoules sont aussi particulièrement indiquées pour l’éclairage extérieur.
Autant de considérations qui devraient nous pousser à bien étudier l’usage des différentes technologies avant de prendre des décisions : certains gouvernements risquent de se réveiller avec la gueule de bois après s’être rendu compte qu’au final, leurs décisions destinées à réduire l’émission de gaz à effet de serre aura eu l’effet exactement inverse…
Sur ce sujet hautement polémique, vous pouvez lire la position de Serge Orru, directeur général de WWF-France.
Un récent article publié par Michael Ivanco, un scentifique de renom de l’Atomic Energy du Canada, du professeur Bryan Karney et d’un de ses étudiants Kevin Waher du département du génie civil de l’université de Toronto, jette le discrédit sur une idée préconçue.
L’efficacité énergétique : un calcul à courte vue ?
Sur les ampoules à incandescence, entre 5 et 10% de la consommation d’électricité seulement est utilisée pour son objectif : l’éclairage. A titre de comparaison, les ampoules fluo-compactes (dites “à économie d’énergie”) sont 4 à 5 fois plus efficaces. C’est cette différence qui a convaincu nombre de gouvernements d’interdire la vente des ampoules à incandescence. L’Union européenne a ainsi décidé de les retirer progressivement du marché entre 2009 et 2012. Mais c’est oublier les effets indirects. Sur les ampoules à incandescence, la majorité de l’électricité consommée a comme particularité de… chauffer, avec un rendement comparable à celui d’un chauffage électrique. Le reste de la réflexion intellectuelle va de soi : le remplacement par des ampoules fluo-compactes coûte de l’argent, et a pour effet pervers de décharger plus encore la charge du chauffage sur les appareils de chauffage. Un raisonnement qui ne tient évidemment que lorsque le foyer a besoin d’être chauffé. C’est exactement comme vider un verre, pour le remplir à côté. Une fausse économie en somme.
Des situations perverses
Prenons maintenant un cas plus “pervers” : un pays du nord de l’Europe (fortement consommateurs de gaz pour se chauffer) qui déciderait d’imposer le remplacement de toutes les ampoules à incandescence au profit d’ampoules à économie d’énergie. Ce remplacement à grande échelle reviendrait donc à utiliser moins d’énergie “propre” et plus de gaz naturel pour compenser l’énergie perdue. Si limiter la consommation de gaz serait un réel objectif, ce pays aurait tout intérêt à garder ses ampoules à incandescence durant au moins toute la période de chauffe, soit… 9 mois sur 12.
Ampoules à économie d’énergie : pour quelles situations ?
Cet exercice ne doit pas faire oublier les réels avantages des ampoules à économie d’énergie. Si elles sont - on l’a vu - peu adaptées aux pays froids, elles sont au contraire particulièrement efficaces pour les pays plus chauds. Prenez une entreprise située en Californie. Ici, peu de chauffage, mais une climatisation qui tourne 9 mois sur 12. Les ampoules à incandescence, qui chauffent, non seulement consomment beaucoup d’électricité, mais en plus surchargent les appareils de climatisation, très gourmands en électricité. Ces ampoules sont aussi particulièrement indiquées pour l’éclairage extérieur.
Autant de considérations qui devraient nous pousser à bien étudier l’usage des différentes technologies avant de prendre des décisions : certains gouvernements risquent de se réveiller avec la gueule de bois après s’être rendu compte qu’au final, leurs décisions destinées à réduire l’émission de gaz à effet de serre aura eu l’effet exactement inverse…
Sur ce sujet hautement polémique, vous pouvez lire la position de Serge Orru, directeur général de WWF-France.
Libellés :
efficacité énergétique,
lampes fluorescentes compactes
lundi 16 mars 2009
Réflexion durable: La politique énergétique de la Chine est-elle conforme avec un développement durable ? "Miracle économique et désastre écologique".
Un article long et documenté sur la situation de la consommation énergétique Chinoise et son impact sur l'environnement de la planète. A lire absolument
"En 2006, la consommation totale d'énergie était de 10 878,5 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep). Le pétrole en 2006 assure 35,8% des besoins énergétiques mondiaux (3889,8 Mtep), le charbon 28,4% (3090,1 Mtep), le gaz 23,7% (2574,9 Mtep), l'hydro-électricité 6,3% (688,1 Mtep) et l'électricité d'origine nucléaire 5,8% (635,5 Mtep).
Avec 4,5% de progression par rapport à 2005 (+133 Mtep), la progression de demande de charbon est celle qui a le plus augmenté, suivi de l'hydro-électricité +3,2% et du gaz naturel +2,5%.
La Chine, avec 1191,3 Mtep, a consommé plus du tiers du charbon produit au niveau mondial. Sa dépendance énergétique au charbon est forte puisque sur une consommation nationale en énergie de 1697,8 Mtep, le charbon représentait plus de 70% de sa consommation énergétique. Et l'essentiel de l'augmentation de la demande en charbon entre 2005 et 2006 est le fait de la Chine: +95 Mtep sur +133 Mtep. Les atteintes environnementales causées par l'utilisation du charbon et ses effets sur le réchauffement climatique ne sont plus à décrire. La production d'un kWh d'électricité est à l'origine de 900 grammes de CO2 contre 710 grammes pour le fuel, 410 grammes pour le gaz naturel et 0 pour l'hydro électricité. Ainsi la Chine est devenue le premier émetteur de Gaz à Effet de Serre. La Chine possède les villes les plus polluées du monde. Souvenez-vous des JO de Pékin en 2008, où l'activité économique avait été réduite sur la capitale Pékin afin de faire baisser le niveau de pollution pour ne pas créer une mauvaise image auprès des sportifs présents et de l’opinion publique."
lire la suite
"En 2006, la consommation totale d'énergie était de 10 878,5 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep). Le pétrole en 2006 assure 35,8% des besoins énergétiques mondiaux (3889,8 Mtep), le charbon 28,4% (3090,1 Mtep), le gaz 23,7% (2574,9 Mtep), l'hydro-électricité 6,3% (688,1 Mtep) et l'électricité d'origine nucléaire 5,8% (635,5 Mtep).
Avec 4,5% de progression par rapport à 2005 (+133 Mtep), la progression de demande de charbon est celle qui a le plus augmenté, suivi de l'hydro-électricité +3,2% et du gaz naturel +2,5%.
La Chine, avec 1191,3 Mtep, a consommé plus du tiers du charbon produit au niveau mondial. Sa dépendance énergétique au charbon est forte puisque sur une consommation nationale en énergie de 1697,8 Mtep, le charbon représentait plus de 70% de sa consommation énergétique. Et l'essentiel de l'augmentation de la demande en charbon entre 2005 et 2006 est le fait de la Chine: +95 Mtep sur +133 Mtep. Les atteintes environnementales causées par l'utilisation du charbon et ses effets sur le réchauffement climatique ne sont plus à décrire. La production d'un kWh d'électricité est à l'origine de 900 grammes de CO2 contre 710 grammes pour le fuel, 410 grammes pour le gaz naturel et 0 pour l'hydro électricité. Ainsi la Chine est devenue le premier émetteur de Gaz à Effet de Serre. La Chine possède les villes les plus polluées du monde. Souvenez-vous des JO de Pékin en 2008, où l'activité économique avait été réduite sur la capitale Pékin afin de faire baisser le niveau de pollution pour ne pas créer une mauvaise image auprès des sportifs présents et de l’opinion publique."
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Les enjeux climatiques de la logistique
"NASDALA)
Les risques et conséquences écologiques d'une logistique inconsciente sont connues et fréquentes, pourtant les alternatives existent.
Aujourd’hui les entreprises se préoccupent encore peu des effets nocifs de leurs productions et transports de celles-ci, les premiers pas qui sont faits par certains sont encore rares. Les moyens de transport utilisés pour acheminer les marchandises d’un point A à un point B sont essentiellement routiers qui pourtant ont un impacte très important sur l’environnement en terme de pollution.
Le Grenelle de l’environnement a fixé en 2007 les premiers projets et objectifs. Ce qui commence à porter, petit à petit ses fruits, bien que beaucoup de chefs d’entreprises y voient encore peu d’intérêt. Les freins sont également de l’ordre de l’information. Grand nombre d’entreprises seraient intéressées par des «éco-gestes », dès possibilités de protéger l’environnement activement mais peu d’informations sont directement données aux citoyens."
vous pouvez trouver l'original de cet article ici
Les risques et conséquences écologiques d'une logistique inconsciente sont connues et fréquentes, pourtant les alternatives existent.
Aujourd’hui les entreprises se préoccupent encore peu des effets nocifs de leurs productions et transports de celles-ci, les premiers pas qui sont faits par certains sont encore rares. Les moyens de transport utilisés pour acheminer les marchandises d’un point A à un point B sont essentiellement routiers qui pourtant ont un impacte très important sur l’environnement en terme de pollution.
Le Grenelle de l’environnement a fixé en 2007 les premiers projets et objectifs. Ce qui commence à porter, petit à petit ses fruits, bien que beaucoup de chefs d’entreprises y voient encore peu d’intérêt. Les freins sont également de l’ordre de l’information. Grand nombre d’entreprises seraient intéressées par des «éco-gestes », dès possibilités de protéger l’environnement activement mais peu d’informations sont directement données aux citoyens."
vous pouvez trouver l'original de cet article ici
mercredi 11 mars 2009
Une trousse pour susciter l’engagement des jeunes face aux changements climatiques - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg
Une trousse pour susciter l’engagement des jeunes face aux changements climatiques - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg: "Par Caroline Cyr, APP
Montréal - Sensibiliser les jeunes aux changements climatiques en combinant les arts et les sciences, c’est le défi qu’a relevé René Prince avec ses élèves du premier cycle du secondaire. L’enseignant constate qu’en plus de transmettre d’importantes connaissances sur les changements climatiques, le projet suscite l’engagement des jeunes.
René Prince est enseignant en mathématiques et en sciences dans la Commission scolaire des Bois Francs. Il a été l’un des premiers à essayer la trousse « Des idées dans l’air » (DIDA), qu’il a présenté le 27 février dernier lors du Colloque de la Fondation Monique-Fitz-Back et des Établissements Verts Brundtland à l’UQAM."
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Montréal - Sensibiliser les jeunes aux changements climatiques en combinant les arts et les sciences, c’est le défi qu’a relevé René Prince avec ses élèves du premier cycle du secondaire. L’enseignant constate qu’en plus de transmettre d’importantes connaissances sur les changements climatiques, le projet suscite l’engagement des jeunes.
René Prince est enseignant en mathématiques et en sciences dans la Commission scolaire des Bois Francs. Il a été l’un des premiers à essayer la trousse « Des idées dans l’air » (DIDA), qu’il a présenté le 27 février dernier lors du Colloque de la Fondation Monique-Fitz-Back et des Établissements Verts Brundtland à l’UQAM."
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Tour d'horizon du changement climatique et des ressources en eau dans le monde
Sur ce site vous trouverez un "tour d'horizon" des problèmes liés aux changemetns climatiques et au problèmes de l'eau dans le monde . Ce problème qui sera selon de nombreux experts la source de conflits majeurs du siècle présent et peut être du suivant mérite toute notre attention même si, pour nous au Québec, l'eau semble une ressource inépuisable.
10/03/2009 11:03 (Par Sandra BESSON)
Tour d'horizon du changement climatique et des ressources en eau dans le mondeTour d'horizon du changement climatique et des ressources en eau dans le monde
Les données qui suivent permettent de faire un rapide tour d’horizon des perspectives et des prévisions concernant la disponibilité de l’eau dans le monde ainsi que les impacts du changement climatique sur la planète dans les prochaines années à venir."
suite du dossier
10/03/2009 11:03 (Par Sandra BESSON)
Tour d'horizon du changement climatique et des ressources en eau dans le mondeTour d'horizon du changement climatique et des ressources en eau dans le monde
Les données qui suivent permettent de faire un rapide tour d’horizon des perspectives et des prévisions concernant la disponibilité de l’eau dans le monde ainsi que les impacts du changement climatique sur la planète dans les prochaines années à venir."
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mardi 10 mars 2009
Canada: les municipalités veulent réduire l’usage de l’eau en bouteille
JDLE - Journal de l'environnement: "La fédération canadienne des municipalités (FCM) a adopté samedi 7 mars une résolution incitant à la consommation d’eau du robinet plutôt que d’eau embouteillée dans les bâtiments municipaux. L’organisation, regroupant plus de 1.775 municipalités, soit 90% de la population, avait réuni son conseil national d’administration à Victoria, en Colombie Britannique.
40 à 80% des bouteilles d’eau sont enfouies, alors qu’elles sont recyclables, indique la FCM.
La résolution ne va pas jusqu’au bannissement de l’eau en bouteille, «la réglementation de l’eau embouteillée destinée à la consommation publique [étant] de compétence provinciale et fédérale», selon un communiqué de la FCM.
Outre la réduction de la consommation d’eau en bouteille, les municipalités sont aussi invitées à mettre en place des campagnes de sensibilisation «pour faire valoir les avantages et la qualité de l’eau potable municipale».
Selon Recy-Québec, société québécoise de récupération et de recyclage créée en 1990 par le gouvernement du Québec, plus d’un milliard de bouteilles d’eau sont consommées chaque année dans cette seule province, dont 44% à peine sont recyclées."
40 à 80% des bouteilles d’eau sont enfouies, alors qu’elles sont recyclables, indique la FCM.
La résolution ne va pas jusqu’au bannissement de l’eau en bouteille, «la réglementation de l’eau embouteillée destinée à la consommation publique [étant] de compétence provinciale et fédérale», selon un communiqué de la FCM.
Outre la réduction de la consommation d’eau en bouteille, les municipalités sont aussi invitées à mettre en place des campagnes de sensibilisation «pour faire valoir les avantages et la qualité de l’eau potable municipale».
Selon Recy-Québec, société québécoise de récupération et de recyclage créée en 1990 par le gouvernement du Québec, plus d’un milliard de bouteilles d’eau sont consommées chaque année dans cette seule province, dont 44% à peine sont recyclées."
jeudi 5 mars 2009
"Les papetiers s’inquiètent pour le recyclage
JDLE - Journal de l'environnement:
05/03/2009 11:29
Revipap, le groupement français des papetiers utilisateurs de papiers recyclables, s’inquiète de l’impact de la crise sur le recyclage des papiers et cartons récupérés. Et compte s’attaquer au gisement des papiers de bureaux, encore peu collectés.
par Victor Roux-Goeken
«Ces dernières années, nous avons manqué de papiers cartons, et tout à coup, nous assistons à une baisse de la demande de 10 à 15%», a constaté Philippe d’Adhemar, président de Revipap, lors de la présentation du bilan 2007-2008 du recyclage des papiers et cartons récupérés (PCR), mardi 3 mars.
«La très forte volatilité des prix à la hausse, puis à la baisse, est préjudiciable à l’ensemble de la filière. Quand les prix baissent, tous les efforts de tri et de collecte réalisés depuis des décennies risquent d’être désamorcés», selon Noël Mangin, délégué général de Revipap.
2008 aura donc été «une période à deux visages», selon le groupement: hausse du cours des produits récupérés durant le premier semestre 2008, avant un brutal retournement de situation à la rentrée. Résultat: la récupération des PCR s’est réduite de 2,6% entre 2007 et 2008 (de 7.068 à 6.887 kilotonnes), tout comme la production de PCR (- 4,4%, de 7.068 à 6.887 kt) et leur consommation (-4,6%, de 9.855 à 9.425 kt). Mais le taux de récupération est resté stable, (de 63,5 à 64,3%).
La baisse des cours des PCR incite-t-elle toujours les industriels à les recycler à un coût plus élevé qu’un traitement type enfouissement ou incinération, ce dont se sont inquiétés les Etats membres lors du dernier Conseil environnement (1)? Pas pour Revipap, qui estime que les acteurs de la filière sont suffisamment responsables pour ne pas tomber dans ces pratiques."
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05/03/2009 11:29
Revipap, le groupement français des papetiers utilisateurs de papiers recyclables, s’inquiète de l’impact de la crise sur le recyclage des papiers et cartons récupérés. Et compte s’attaquer au gisement des papiers de bureaux, encore peu collectés.
par Victor Roux-Goeken
«Ces dernières années, nous avons manqué de papiers cartons, et tout à coup, nous assistons à une baisse de la demande de 10 à 15%», a constaté Philippe d’Adhemar, président de Revipap, lors de la présentation du bilan 2007-2008 du recyclage des papiers et cartons récupérés (PCR), mardi 3 mars.
«La très forte volatilité des prix à la hausse, puis à la baisse, est préjudiciable à l’ensemble de la filière. Quand les prix baissent, tous les efforts de tri et de collecte réalisés depuis des décennies risquent d’être désamorcés», selon Noël Mangin, délégué général de Revipap.
2008 aura donc été «une période à deux visages», selon le groupement: hausse du cours des produits récupérés durant le premier semestre 2008, avant un brutal retournement de situation à la rentrée. Résultat: la récupération des PCR s’est réduite de 2,6% entre 2007 et 2008 (de 7.068 à 6.887 kilotonnes), tout comme la production de PCR (- 4,4%, de 7.068 à 6.887 kt) et leur consommation (-4,6%, de 9.855 à 9.425 kt). Mais le taux de récupération est resté stable, (de 63,5 à 64,3%).
La baisse des cours des PCR incite-t-elle toujours les industriels à les recycler à un coût plus élevé qu’un traitement type enfouissement ou incinération, ce dont se sont inquiétés les Etats membres lors du dernier Conseil environnement (1)? Pas pour Revipap, qui estime que les acteurs de la filière sont suffisamment responsables pour ne pas tomber dans ces pratiques."
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mardi 3 mars 2009
Opel dévoile à son tour son modèle électrique | GreenUnivers
Mêmes commentaires... combien couterons ces voitures? Voila la raison de l'échec ou du succès. Quand on parle , comme GM d'un prix autour de 40000,00$ , c'est prohibitif.
"La voiture électrique sauvera-t-elle le constructeur allemand ? La marque à l’éclair, qui espère le soutien financier de Berlin pour éviter la faillite, présente cette semaine au salon de l’automobile de Genève son premier modèle électrique, l’Ampera.
L’Ampera reprend la technologie développée par la maison mère d’Opel, General Motors, pour sa future Chevrolet Volt. Elle est équipée d’une batterie lithium-ion de 16 kWh qui permet de parcourir les 60 premiers kilomètres uniquement grâce à l’électricité, donc sans émissions de CO2. Au-delà, un moteur à combustion produit l’électricité nécessaire. Il se déclenche automatiquement et permet de parcourir jusqu’à 500 kilomètres. Ce n’est donc pas un modèle hybride traditionnel."
"La voiture électrique sauvera-t-elle le constructeur allemand ? La marque à l’éclair, qui espère le soutien financier de Berlin pour éviter la faillite, présente cette semaine au salon de l’automobile de Genève son premier modèle électrique, l’Ampera.
L’Ampera reprend la technologie développée par la maison mère d’Opel, General Motors, pour sa future Chevrolet Volt. Elle est équipée d’une batterie lithium-ion de 16 kWh qui permet de parcourir les 60 premiers kilomètres uniquement grâce à l’électricité, donc sans émissions de CO2. Au-delà, un moteur à combustion produit l’électricité nécessaire. Il se déclenche automatiquement et permet de parcourir jusqu’à 500 kilomètres. Ce n’est donc pas un modèle hybride traditionnel."
Peugeot vendra en Europe une voiture électrique fabriquée par Mitsubishi | GreenUnivers
Tout le monde veux sa voiture électrique. Mais est-ce la solution? Que fera-t-on au Québec où c'est peut être l'une des solutions? Ce sera à quel prix?
"Pour intégrer le club naissant des vendeurs de voitures électriques, PSA Peugeot Citroën s’est allié au japonais Mitsubishi Motors, déjà son partenaire dans diverses joint-ventures. Ils lanceront ensemble une voiture électrique en Europe fin 2010, construite par Mitsubishi sur le modèle de sa voiture électrique déjà existante la « i MiEV ». Elle sera vendue sous la marque Peugeot, qui s’épargne ainsi les coûts de développement.
L’iMiev, rechargeable sur prise secteur et équipée d’une batterie lithium-ion, est déjà en test au Japon et sera testée à Hong Kong fin 2009, notamment pour évaluer les besoins en stations de recharge.
Son rival Renault-Nissan, accélère ses projets électriques dans son pays de prédilection dans ce domaine, le Portugal : également lundi, Nissan Motor a conclu un accord avec le gouvernement portugais pour étudier un investissement de 300 à 400 millions d’euros dans une usine de batteries lithium-ion, avec une capacité de production de 50.000 unités par an."
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"Pour intégrer le club naissant des vendeurs de voitures électriques, PSA Peugeot Citroën s’est allié au japonais Mitsubishi Motors, déjà son partenaire dans diverses joint-ventures. Ils lanceront ensemble une voiture électrique en Europe fin 2010, construite par Mitsubishi sur le modèle de sa voiture électrique déjà existante la « i MiEV ». Elle sera vendue sous la marque Peugeot, qui s’épargne ainsi les coûts de développement.
L’iMiev, rechargeable sur prise secteur et équipée d’une batterie lithium-ion, est déjà en test au Japon et sera testée à Hong Kong fin 2009, notamment pour évaluer les besoins en stations de recharge.
Son rival Renault-Nissan, accélère ses projets électriques dans son pays de prédilection dans ce domaine, le Portugal : également lundi, Nissan Motor a conclu un accord avec le gouvernement portugais pour étudier un investissement de 300 à 400 millions d’euros dans une usine de batteries lithium-ion, avec une capacité de production de 50.000 unités par an."
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Vision Durable - Une idée pour réemployer des bidons de plastique
Vision Durable - Une idée pour réemployer des bidons de plastique: "Une quincaillerie Rona a une idée de réemploi de contenants de matière plastique qui pourrait faire des petits à l'échelle du Québec.
Les bidons de lave-glace deviendront des galons fleuris. La partie du haut sera coupée et la partie du bas sera remplie de fleurs. Les succursales de L'Assomption, Le Gardeur, Crabtree et Berthierville de la quincaillerie Rona Limoges et Frères octroieront des rabais de 2,50$ à l'achat de gallons fleuris de 7,50$ à tous les clients qui rapporteront un gallon vide.
C'est ce que rapporte la dernière édition du journal Hebdo Rive Nord (27 février). Le magasin Rona Limoges et Frères souhaite atteindre le plateau des 800 galons et songe à étendre l'idée à la grandeur du Québec. «Nous voulons, possiblement pour l'année prochaine, instaurer ce projet à la grandeur du Québec», a dit Clément Limoges, propriétaire des succursales de L'Assomption et Le Gardeur.
Cette quincaillerie, précise Hebdo Rive Nord, a adhéré au niveau «engagement» du programme ICI on recycle de Recyc-Québec. L'entreprise a notamment doté chaque employé d'une tasse thermos, afin de remplacer les verres de styromousse, et offre aux clients des sacs recyclables. Le Comité d'Actions Durables de la MRC de L'Assomption a endossé l'idée de réemploi des bidons de lave-glace."
article original sur "Veille environnement"
Les bidons de lave-glace deviendront des galons fleuris. La partie du haut sera coupée et la partie du bas sera remplie de fleurs. Les succursales de L'Assomption, Le Gardeur, Crabtree et Berthierville de la quincaillerie Rona Limoges et Frères octroieront des rabais de 2,50$ à l'achat de gallons fleuris de 7,50$ à tous les clients qui rapporteront un gallon vide.
C'est ce que rapporte la dernière édition du journal Hebdo Rive Nord (27 février). Le magasin Rona Limoges et Frères souhaite atteindre le plateau des 800 galons et songe à étendre l'idée à la grandeur du Québec. «Nous voulons, possiblement pour l'année prochaine, instaurer ce projet à la grandeur du Québec», a dit Clément Limoges, propriétaire des succursales de L'Assomption et Le Gardeur.
Cette quincaillerie, précise Hebdo Rive Nord, a adhéré au niveau «engagement» du programme ICI on recycle de Recyc-Québec. L'entreprise a notamment doté chaque employé d'une tasse thermos, afin de remplacer les verres de styromousse, et offre aux clients des sacs recyclables. Le Comité d'Actions Durables de la MRC de L'Assomption a endossé l'idée de réemploi des bidons de lave-glace."
article original sur "Veille environnement"
Vision Durable - Les changements climatiques préoccupent les investisseurs
"Les entreprises qui ne dévoilent pas leur bilan de gaz à effet de serre et qui ne disent pas ce qu'elles font pour freiner les changements climatiques ont tort. Car les investisseurs veulent savoir.
«Les investisseurs institutionnels exigent des entreprises qu’elles communiquent les risques auxquels les exposent les changements climatiques, non seulement matériels et réglementaires, mais aussi pour la réputation et d’éventuels litiges, ainsi que les stratégies adoptées pour les maîtriser. De plus, les entreprises dominantes reconnaissent qu’elles ont intérêt à dire comment elles gèrent les risques», indique un nouveau rapport publié par le Conference Board du Canada.
Par ailleurs, cet organisme d'affaire signale que 90 des 103 entreprises canadiennes cotées en Bourse qui ont répondu à un sondage envoyé en 2008 ont indiqué que les changements climatiques présentaient des occasions économiques. En revanche, 85 ont dit que les changements climatiques s’accompagnaient de risques matériels et réglementaires ainsi que de risques nuisant à la conduite générale de leurs affaires."
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«Les investisseurs institutionnels exigent des entreprises qu’elles communiquent les risques auxquels les exposent les changements climatiques, non seulement matériels et réglementaires, mais aussi pour la réputation et d’éventuels litiges, ainsi que les stratégies adoptées pour les maîtriser. De plus, les entreprises dominantes reconnaissent qu’elles ont intérêt à dire comment elles gèrent les risques», indique un nouveau rapport publié par le Conference Board du Canada.
Par ailleurs, cet organisme d'affaire signale que 90 des 103 entreprises canadiennes cotées en Bourse qui ont répondu à un sondage envoyé en 2008 ont indiqué que les changements climatiques présentaient des occasions économiques. En revanche, 85 ont dit que les changements climatiques s’accompagnaient de risques matériels et réglementaires ainsi que de risques nuisant à la conduite générale de leurs affaires."
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jeudi 26 février 2009
Un projet d’inventaire des sites les plus pollués au monde
JDLE - Journal de l'environnement: "Créer une base de données répertoriant les sites industriels les plus pollués au monde. Telle est l’ambition de l’institut newyorkais à but non lucratif Blacksmith, selon l’agence de presse Reuters.
L’organisation, dont la base de données sera baptisée «Projet d’inventaire mondial», entend former des chercheurs d’agences locales semi-gouvernementales, d’universités et d’associations à but non lucratif dans plus de 80 pays en développement pour traquer ces sites industriels.
L’inventaire doit aider les gouvernements et organisations internationales à hiérarchiser la dépollution des sites poubelles à fort impact sanitaire –mines de métal abandonnées en Afrique et usines d’armement ou industries chimiques dans les pays d’ex-URSS. Les sites sont aussi légion en Chine et en Inde.
Lire cet article sur JDLE
La Commission européenne et la Croix verte suisse ont doté cet inventaire d’1,5 million de dollars (1,18 million d’euros) pour les 18 mois à venir. L’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi), partenaire de l’institut Blacksmith, table sur un inventaire répertoriant entre 1.200 et 2.000 sites dans le monde.
Plutôt que d’engager des poursuites contre les entreprises responsables des pollutions, Blacksmith veut les associer aux riverains pour nettoyer les sites. L’institut compte créer à terme un fonds Pollution et santé de 500 millions $ (394 millions €) pour nettoyer les sites."
L’organisation, dont la base de données sera baptisée «Projet d’inventaire mondial», entend former des chercheurs d’agences locales semi-gouvernementales, d’universités et d’associations à but non lucratif dans plus de 80 pays en développement pour traquer ces sites industriels.
L’inventaire doit aider les gouvernements et organisations internationales à hiérarchiser la dépollution des sites poubelles à fort impact sanitaire –mines de métal abandonnées en Afrique et usines d’armement ou industries chimiques dans les pays d’ex-URSS. Les sites sont aussi légion en Chine et en Inde.
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La Commission européenne et la Croix verte suisse ont doté cet inventaire d’1,5 million de dollars (1,18 million d’euros) pour les 18 mois à venir. L’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi), partenaire de l’institut Blacksmith, table sur un inventaire répertoriant entre 1.200 et 2.000 sites dans le monde.
Plutôt que d’engager des poursuites contre les entreprises responsables des pollutions, Blacksmith veut les associer aux riverains pour nettoyer les sites. L’institut compte créer à terme un fonds Pollution et santé de 500 millions $ (394 millions €) pour nettoyer les sites."
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"Résidus de médicaments dans l’eau: un risque encore mal connu
"Résidus de médicaments dans l’eau: un risque encore mal connu
26/02/2009 14:23
La présence de médicaments à l’état de traces dans l’eau a été mise en évidence par de nombreuses études. Si l’impact écologique est avéré, l’impact sanitaire pour l’homme -encore mal connu- serait indissociable de celui lié à l’exposition à de multiples polluants. Face à ce risque émergent, les mesures réglementaires apparaissent insuffisantes.
Analyser
par Sabine Casalonga
Réagir à l'article"
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26/02/2009 14:23
La présence de médicaments à l’état de traces dans l’eau a été mise en évidence par de nombreuses études. Si l’impact écologique est avéré, l’impact sanitaire pour l’homme -encore mal connu- serait indissociable de celui lié à l’exposition à de multiples polluants. Face à ce risque émergent, les mesures réglementaires apparaissent insuffisantes.
Analyser
par Sabine Casalonga
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mercredi 25 février 2009
Les États-Unis et le Canada se lancent de concert dans une initiative sur l'énergie propre - Médiaterre Amérique du Nord
Enfin...
Par David McKeeby
Rédacteur
Washington - Le président Obama et le premier ministre canadien Stephen Harper ont annoncé le lancement d'une nouvelle initiative en matière d'énergie propre et réaffirmé leur intention d'unir leurs efforts face à la crise économique internationale.
' C'est au Canada que j'effectue mon premier voyage à l'étranger en tant que président des États-Unis, pour souligner la solidité et l'importance des liens entre nos deux nations et pour réaffirmer notre détermination à collaborer étroitement avec nos amis et partenaires en vue de relever les défis auxquels nous sommes tous actuellement confrontés ', a dit M. Obama lors d'une conférence de presse conjointe avec M. Harper, le 19 février, au siège du parlement canadien à Ottawa. ' Nos liens sont si étroits que nous avons parfois tendance à les considérer comme acquis, mais le succès même de notre amitié à travers l'histoire exige de nous que nous renouvelions et approfondissions notre coopération, ici en ce XXIe siècle. '
MM. Obama et Harper ont annoncé le lancement du Dialogue États-Unis-Canada sur l'énergie propre - un projet de collaboration scientifique dont le but est de mettre au point de nouvelles techniques de réduction des émissions de gaz à effet de serre et, d'une façon générale, de lutter contre le changement climatique à l'échelle planétaire. Les deux pays examineront également la possibilité de mettre au point une nouvelle infrastructure de distri"
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Par David McKeeby
Rédacteur
Washington - Le président Obama et le premier ministre canadien Stephen Harper ont annoncé le lancement d'une nouvelle initiative en matière d'énergie propre et réaffirmé leur intention d'unir leurs efforts face à la crise économique internationale.
' C'est au Canada que j'effectue mon premier voyage à l'étranger en tant que président des États-Unis, pour souligner la solidité et l'importance des liens entre nos deux nations et pour réaffirmer notre détermination à collaborer étroitement avec nos amis et partenaires en vue de relever les défis auxquels nous sommes tous actuellement confrontés ', a dit M. Obama lors d'une conférence de presse conjointe avec M. Harper, le 19 février, au siège du parlement canadien à Ottawa. ' Nos liens sont si étroits que nous avons parfois tendance à les considérer comme acquis, mais le succès même de notre amitié à travers l'histoire exige de nous que nous renouvelions et approfondissions notre coopération, ici en ce XXIe siècle. '
MM. Obama et Harper ont annoncé le lancement du Dialogue États-Unis-Canada sur l'énergie propre - un projet de collaboration scientifique dont le but est de mettre au point de nouvelles techniques de réduction des émissions de gaz à effet de serre et, d'une façon générale, de lutter contre le changement climatique à l'échelle planétaire. Les deux pays examineront également la possibilité de mettre au point une nouvelle infrastructure de distri"
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L’industrie du mobile compte se mettre au chargeur universel
"Un petit pas pour les téléphones portables, un grand pas pour l’environnement. Au cours de son congrès mondial qui s’est tenu la semaine dernière à Barcelone (Espagne), l’association mondiale des fabricants de téléphone portable (GSMA) et 17 opérateurs et fabricants (1) ont annoncé, mardi 17 février, la création d’une norme industrielle de chargeur universel de batterie pour les nouveaux téléphones portables.
La fabrication d’un tel chargeur devrait permettre d’éliminer plus de 51.000 tonnes de chargeurs en double –soit autant de déchets. L’industrie du mobile en profitera pour réduire de 50% la consommation des appareils en mode veille.
Ce nouveau chargeur devrait voir le jour en 2012 et être alimenté via un port USB. Tous les nouveaux téléphones devront être compatibles le 1er janvier de cette année. Cette mesure permettra aussi de réduire les émissions de gaz à effet de serre liées au transport des chargeurs ainsi «évités» entre 13,6 à 21,8 millions de tonnes par an."
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La fabrication d’un tel chargeur devrait permettre d’éliminer plus de 51.000 tonnes de chargeurs en double –soit autant de déchets. L’industrie du mobile en profitera pour réduire de 50% la consommation des appareils en mode veille.
Ce nouveau chargeur devrait voir le jour en 2012 et être alimenté via un port USB. Tous les nouveaux téléphones devront être compatibles le 1er janvier de cette année. Cette mesure permettra aussi de réduire les émissions de gaz à effet de serre liées au transport des chargeurs ainsi «évités» entre 13,6 à 21,8 millions de tonnes par an."
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Vision Durable - Les océans s'acidifient à la vitesse grand V
Quelque 150 scientifiques de renom tirent la sonette d'alarme: les océans s'acidifient à grande vitesse et leur capacité d'absorption de CO2 diminue rapidement.
Provenant de 26 pays, ces scientifiques ont publié le 30 janvier la Déclaration de Monaco. «La chimie des océans joue un rôle si essentiel et les changements qui l’affectent sont si rapides et si graves que leurs effets sur les organismes semblent désormais inévitables», a déclaré James Orr, le président du symposium."
A lire sur ¨Vision Durable¨
Provenant de 26 pays, ces scientifiques ont publié le 30 janvier la Déclaration de Monaco. «La chimie des océans joue un rôle si essentiel et les changements qui l’affectent sont si rapides et si graves que leurs effets sur les organismes semblent désormais inévitables», a déclaré James Orr, le président du symposium."
A lire sur ¨Vision Durable¨
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Los Angeles, première grande métropole à passer aux LED | GreenUnivers
"La ville de Los Angeles va remplacer 140 000 éclairages de rues traditionnels par des LED (diodes électroluminescentes) d’ici à cinq ans. C’est la première fois qu’une grande métropole lance un programme d’équipement en LED d’une telle ampleur. A la clé : 40 500 tonnes de CO2 en moins par an, soit l’équivalent de 6 700 voitures retirées de la circulation chaque année.
Les LED sont peu gourmandes en électricité mais pour l’instant beaucoup plus chères que les ampoules incandescentes ou fluorescentes utilisées jusqu’à présent pour éclairer les rues. Mais elles se rattrapent par une durée de vie supérieure, entre 10 et 12 ans contre 4 à 6 ans pour les autres. Ce qui permettra aussi de réduire les coûts de maintenance et de travail, selon la mairie de Los Angeles."
Lire la suite de cet article sur Greenunivers
Site original de Green Univers
Les LED sont peu gourmandes en électricité mais pour l’instant beaucoup plus chères que les ampoules incandescentes ou fluorescentes utilisées jusqu’à présent pour éclairer les rues. Mais elles se rattrapent par une durée de vie supérieure, entre 10 et 12 ans contre 4 à 6 ans pour les autres. Ce qui permettra aussi de réduire les coûts de maintenance et de travail, selon la mairie de Los Angeles."
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mardi 24 février 2009
Programme d'accréditation pour les gaz à effet de serre - Conseil canadien des normes
Accréditation des organismes
Le programme d'accréditation pour les gaz à effet de serre (PAGES) du Conseil canadien des normes évalue la compétence des organismes qui calculent les émissions de gaz à effet de serre (GES).
Avant d'accorder l'accréditation à un organisme, le Conseil canadien des normes (CCN) examine les pratiques de celui-ci afin de vérifier qu'elles sont conformes aux exigences énoncées dans la norme ISO pour les organismes de validation et de vérification des déclarations de gaz à effet de serre (ISO/CEI 14065), norme qui a été adoptée au Canada sous la forme du CAN-P-20.
Selon cette norme, les organismes de validation et de vérification doivent prouver leur respect des spécifications établies – dans la collection des normes ISO sur les gaz à effet de serre (ISO/CEI 14064 : parties 1 à 3) – pour calculer les émissions et leur réduction ou leur suppression, et en rendre compte.
(lire l'article complet)Les activités de validation et de vérification des déclarations"
Le programme d'accréditation pour les gaz à effet de serre (PAGES) du Conseil canadien des normes évalue la compétence des organismes qui calculent les émissions de gaz à effet de serre (GES).
Avant d'accorder l'accréditation à un organisme, le Conseil canadien des normes (CCN) examine les pratiques de celui-ci afin de vérifier qu'elles sont conformes aux exigences énoncées dans la norme ISO pour les organismes de validation et de vérification des déclarations de gaz à effet de serre (ISO/CEI 14065), norme qui a été adoptée au Canada sous la forme du CAN-P-20.
Selon cette norme, les organismes de validation et de vérification doivent prouver leur respect des spécifications établies – dans la collection des normes ISO sur les gaz à effet de serre (ISO/CEI 14064 : parties 1 à 3) – pour calculer les émissions et leur réduction ou leur suppression, et en rendre compte.
(lire l'article complet)Les activités de validation et de vérification des déclarations"
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mercredi 11 février 2009
Le respect de l’environnement prend du poids
Agence QMI
11/02/2009 10h46
Ménages canadiens - Le respect de l’environnement prend du poids
Selon une étude rendue publique hier par Statistique Canada, les ménages canadiens sont de plus en plus sensibles aux questions environnementales, ce qui influence certaines de leurs habitudes de consommation.
Par exemple, ils utilisent davantage des économiseurs d’eau et des économiseurs d’énergie dans leurs foyers.
Selon les dernières données, 62% des ménages canadiens ont affirmé, en 2007, avoir une pomme de douche à débit réduit. Cette proportion était de 54% l’année précédente. C’est en Ontario (65%) où l’on en fait le plus grand usage et en Saskatchewan (46%) où ces appareils sont le moins prisés.
Même constatation concernant la possession d’une toilette à faible volume d’eau: 39% en 2007, contre 34% l’année précédente. L’Ontario et l’Alberta (47%) viennent en tête, alors que le Québec (30%) et Terre-Neuve (28%) ferment la marche.
Énergie
De la même manière, de plus en plus de ménages utilisent des ampoules à haut rendement énergétique. En 2007, 67% des ménages ont dit utiliser au moins une ampoule fluorescente. Le chiffre était de 56% en 2006.
Les thermostats programmables sont également plus populaires. En 1994, seulement 16% des foyers en étaient munis. Ce taux était de 40% en 2006 et de 42% l’année suivante. Mais 16% des ménages munis de ce type d’appareils ont dit ne pas l’avoir programmé.
L’étude de Statistique Canada indique aussi que 30% des ménages affirment utiliser des sacs recyclés ou réutilisables pour faire l’épicerie. C’est en Ontario (35%) et au Québec (33%) où cette pratique est la plus répandue.
11/02/2009 10h46
Ménages canadiens - Le respect de l’environnement prend du poids
Selon une étude rendue publique hier par Statistique Canada, les ménages canadiens sont de plus en plus sensibles aux questions environnementales, ce qui influence certaines de leurs habitudes de consommation.
Par exemple, ils utilisent davantage des économiseurs d’eau et des économiseurs d’énergie dans leurs foyers.
Selon les dernières données, 62% des ménages canadiens ont affirmé, en 2007, avoir une pomme de douche à débit réduit. Cette proportion était de 54% l’année précédente. C’est en Ontario (65%) où l’on en fait le plus grand usage et en Saskatchewan (46%) où ces appareils sont le moins prisés.
Même constatation concernant la possession d’une toilette à faible volume d’eau: 39% en 2007, contre 34% l’année précédente. L’Ontario et l’Alberta (47%) viennent en tête, alors que le Québec (30%) et Terre-Neuve (28%) ferment la marche.
Énergie
De la même manière, de plus en plus de ménages utilisent des ampoules à haut rendement énergétique. En 2007, 67% des ménages ont dit utiliser au moins une ampoule fluorescente. Le chiffre était de 56% en 2006.
Les thermostats programmables sont également plus populaires. En 1994, seulement 16% des foyers en étaient munis. Ce taux était de 40% en 2006 et de 42% l’année suivante. Mais 16% des ménages munis de ce type d’appareils ont dit ne pas l’avoir programmé.
L’étude de Statistique Canada indique aussi que 30% des ménages affirment utiliser des sacs recyclés ou réutilisables pour faire l’épicerie. C’est en Ontario (35%) et au Québec (33%) où cette pratique est la plus répandue.
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Un compostage difficile à organiser
FRÉDÉRIC KHALKHAL, MÉTRO
09 février 2009 12:01
Trois mille foyers partagent l’expérience de la collecte des résidus alimentaires dans Le Plateau–Mont-Royal, à Montréal. Après plus de deux mois de ramassage des déchets de table, l’engouement des citoyens semble toujours au rendez-vous. Cependant, quelques voix discordantes se font entendre. Quel est le premier bilan de cette opération appelée à s’étendre à toute la ville?
Le 2 décembre 2008 marquait le lancement officiel de la collecte. Le même jour, une réunion d’information rassemblait en soirée les organisateurs du dispositif et les habitants de l’arrondissement. Premier accroc : plusieurs testeurs, prêts à devenir des composteurs actifs, n’avaient toujours pas reçu leur bac brun.
Le problème sera résolu quelques jours plus tard. «94 % des ménages ont répondu positivement lorsqu’on leur a proposé de participer au recyclage des déchets organiques», explique Josée Duplessis, conseillère du district De Lorimier et instigatrice du projet de compostage dans l’arrondissement du Plateau–Mont-Royal.
Le démarrage du programme semble cependant prendre du temps avant d’atteindre son rythme de croisière. Le nombre des bacs bruns censés être alignés le mardi soir dans les rues du Plateau– Mont-Royal ne semble pas représenter la participation de 94 % des habitants de l’arrondissement.
(lire la suite)
09 février 2009 12:01
Trois mille foyers partagent l’expérience de la collecte des résidus alimentaires dans Le Plateau–Mont-Royal, à Montréal. Après plus de deux mois de ramassage des déchets de table, l’engouement des citoyens semble toujours au rendez-vous. Cependant, quelques voix discordantes se font entendre. Quel est le premier bilan de cette opération appelée à s’étendre à toute la ville?
Le 2 décembre 2008 marquait le lancement officiel de la collecte. Le même jour, une réunion d’information rassemblait en soirée les organisateurs du dispositif et les habitants de l’arrondissement. Premier accroc : plusieurs testeurs, prêts à devenir des composteurs actifs, n’avaient toujours pas reçu leur bac brun.
Le problème sera résolu quelques jours plus tard. «94 % des ménages ont répondu positivement lorsqu’on leur a proposé de participer au recyclage des déchets organiques», explique Josée Duplessis, conseillère du district De Lorimier et instigatrice du projet de compostage dans l’arrondissement du Plateau–Mont-Royal.
Le démarrage du programme semble cependant prendre du temps avant d’atteindre son rythme de croisière. Le nombre des bacs bruns censés être alignés le mardi soir dans les rues du Plateau– Mont-Royal ne semble pas représenter la participation de 94 % des habitants de l’arrondissement.
(lire la suite)
mardi 10 février 2009
Canada: la politique climatique du gouvernement épinglée
par Victor Roux-Goeken
Les différentes stratégies de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) du Canada ne fonctionnent pas, a averti jeudi 5 février Scott Vaughan, commissaire à l’environnement et au développement durable du Bureau du vérificateur général (BVG) du Canada. Le BVG est chargé de contrôler la gestion financière des pouvoirs publics canadiens, et il adresse régulièrement des rapports au Parlement.
Le rapport du commissaire reproche au gouvernement conservateur canadien de feindre de s’intéresser à la chose environnementale. Les conservateurs avaient menacé de se retirer du protocole de Kyoto début 2006, car trop dommageable pour l’économie selon eux.
Depuis, un plan moins strict visant à réduire les émissions du pays de 50% en 2050, par rapport au niveaux de 2007, a été réalisé par le ministère fédéral de l’environnement. Un élément de ce plan consiste en un fonds «air propre» de 1,5 milliard de dollars canadiens (900 millions d’euros) destiné a réduire les émissions du pays de 16 millions de tonnes par an entre 2008 et 2012. Un chiffre qui n’est que faiblement étayé par le ministère, relève le commissaire.
Le montant du fonds a été alloué à la totalité des 10 provinces et 3 territoires du pays, sans que son utilisation soit conditionnée à la baisse des émissions, ni réclamer de bilan des mesures engagées.
Le commissaire Vaughan a aussi critiqué un programme de 635 millions de CAD (400 millions €) de crédits d’impôt pour les personnes utilisant les transports en commun. Une mesure censée éviter l’émission annuelle de 220.000 tonnes de GES, selon des estimations du ministère de l’environnement en 2007. Un an après, cette estimation a été ramenée à 35.000 tonnes.
Le Canada est régulièrement critiqué pour sa politique de réduction des émissions des GES. Celles-ci, qui devaient être réduites de 6% en 2012 dans le cadre du protocole de Kyoto, sont en hausse de 25%, ce qui fait du pays l’un des plus mauvais élèves de l’OCDE en la matière. En juin dernier, les Amis de la terre ont réclamé à la justice que le pays respecte le protocole de Kyoto (1). Leur demande a été rejetée en octobre dernier (2).
Les différentes stratégies de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) du Canada ne fonctionnent pas, a averti jeudi 5 février Scott Vaughan, commissaire à l’environnement et au développement durable du Bureau du vérificateur général (BVG) du Canada. Le BVG est chargé de contrôler la gestion financière des pouvoirs publics canadiens, et il adresse régulièrement des rapports au Parlement.
Le rapport du commissaire reproche au gouvernement conservateur canadien de feindre de s’intéresser à la chose environnementale. Les conservateurs avaient menacé de se retirer du protocole de Kyoto début 2006, car trop dommageable pour l’économie selon eux.
Depuis, un plan moins strict visant à réduire les émissions du pays de 50% en 2050, par rapport au niveaux de 2007, a été réalisé par le ministère fédéral de l’environnement. Un élément de ce plan consiste en un fonds «air propre» de 1,5 milliard de dollars canadiens (900 millions d’euros) destiné a réduire les émissions du pays de 16 millions de tonnes par an entre 2008 et 2012. Un chiffre qui n’est que faiblement étayé par le ministère, relève le commissaire.
Le montant du fonds a été alloué à la totalité des 10 provinces et 3 territoires du pays, sans que son utilisation soit conditionnée à la baisse des émissions, ni réclamer de bilan des mesures engagées.
Le commissaire Vaughan a aussi critiqué un programme de 635 millions de CAD (400 millions €) de crédits d’impôt pour les personnes utilisant les transports en commun. Une mesure censée éviter l’émission annuelle de 220.000 tonnes de GES, selon des estimations du ministère de l’environnement en 2007. Un an après, cette estimation a été ramenée à 35.000 tonnes.
Le Canada est régulièrement critiqué pour sa politique de réduction des émissions des GES. Celles-ci, qui devaient être réduites de 6% en 2012 dans le cadre du protocole de Kyoto, sont en hausse de 25%, ce qui fait du pays l’un des plus mauvais élèves de l’OCDE en la matière. En juin dernier, les Amis de la terre ont réclamé à la justice que le pays respecte le protocole de Kyoto (1). Leur demande a été rejetée en octobre dernier (2).
mercredi 21 janvier 2009
Green IT : Nokia lance un mobile sans chargeur Actualité --- Silicon.fr ---
20-01-2009
Par Ian Williams (Vnunet.com)
Le fabricant développe sa fibre verte en proposant un mobile de dernière génération sans chargeur, et avec un emballage moins encombrant
Publicité
Avec son N79 Eco, premier téléphone de la marque vendu sans chargeur de batterie et dans un emballage réduit, Nokia affiche clairement ses ambitions écologiques.
"Nous avons constaté que nos clients n’avaient pas toujours besoin d’un nouveau chargeur. C’est pourquoi, lorsque vous achetez le Nokia N79 en ligne, il est fourni sans chargeur, de sorte que vous puissiez conserver et réutiliser votre ancien chargeur Nokia", explique le fabricant sur son site Web. Et l’absence de chargeur permet de réduire les dimensions de la boîte et ainsi de limiter l’emballage au strict minimum.
Nokia a souvent été félicité pour le nombre limité de chargeurs disponibles pour l’ensemble de sa gamme de téléphones. Ce permet à ses clients clients de réutiliser leur chargeur lors de l’acquisition d’un nouveau portable.
Le N79 Eco s’inscrit dans un projet pilote visant à réduire la consommation d’énergie et à limiter les déchets. Pour chaque téléphone vendu, Nokia s’engage par ailleurs à reverser quatre livres sterling (4,30 euros) à la fondation WWF.
Le mobile N79 Eco n'est actuellement disponible qu'au Royaume-Uni, sur la boutique en ligne du constructeur. Les visiteurs sont invités à répondre à un questionnaire afin de déterminer si d’autres téléphones Nokia devraient aussi être vendus sans chargeur.
Nokia propose par ailleurs un chargeur de haute performance capable de n’utiliser que 10 % de l’alimentation consommé par des chargeurs classiques. Ce qui réduit la consommation d’énergie lorsque le chargeur reste branché, sans que le téléphone y soit connecté.
Par Ian Williams (Vnunet.com)
Le fabricant développe sa fibre verte en proposant un mobile de dernière génération sans chargeur, et avec un emballage moins encombrant
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Avec son N79 Eco, premier téléphone de la marque vendu sans chargeur de batterie et dans un emballage réduit, Nokia affiche clairement ses ambitions écologiques.
"Nous avons constaté que nos clients n’avaient pas toujours besoin d’un nouveau chargeur. C’est pourquoi, lorsque vous achetez le Nokia N79 en ligne, il est fourni sans chargeur, de sorte que vous puissiez conserver et réutiliser votre ancien chargeur Nokia", explique le fabricant sur son site Web. Et l’absence de chargeur permet de réduire les dimensions de la boîte et ainsi de limiter l’emballage au strict minimum.
Nokia a souvent été félicité pour le nombre limité de chargeurs disponibles pour l’ensemble de sa gamme de téléphones. Ce permet à ses clients clients de réutiliser leur chargeur lors de l’acquisition d’un nouveau portable.
Le N79 Eco s’inscrit dans un projet pilote visant à réduire la consommation d’énergie et à limiter les déchets. Pour chaque téléphone vendu, Nokia s’engage par ailleurs à reverser quatre livres sterling (4,30 euros) à la fondation WWF.
Le mobile N79 Eco n'est actuellement disponible qu'au Royaume-Uni, sur la boutique en ligne du constructeur. Les visiteurs sont invités à répondre à un questionnaire afin de déterminer si d’autres téléphones Nokia devraient aussi être vendus sans chargeur.
Nokia propose par ailleurs un chargeur de haute performance capable de n’utiliser que 10 % de l’alimentation consommé par des chargeurs classiques. Ce qui réduit la consommation d’énergie lorsque le chargeur reste branché, sans que le téléphone y soit connecté.
vendredi 9 janvier 2009
La vertu devenue industrie
MONEMPLOI.COM
08 janvier 2009 09:46
Protection de l’eau, qualité de l’air, décontamination des sols, recyclage, compostage, pas question de laisser détruire la Terre, avons-nous dit dans les années 80. Cette prise de conscience mondiale devait conduire à différentes formes de législation nationale et mondiale, dont le célèbre protocole de Kyoto ou les crédits de CO2. Mais encore faut-il agir. Heureusement, ce ne sont pas les métiers et professions qui manquent pour soutenir l’action!
«Au Québec, nous avons passé le cap des 32 000 emplois directement liés au secteur de l’environnement. C’est une croissance de 26 % en trois ans», constate Dominique Dodier, qui dirige l’organisme EnviroCompétences, le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’environnement. L’adoption de la Loi sur la qualité de l’environnement, en 1970, a jeté les bases de cette industrie. Mais cette dernière a vraiment pris son essor avec l’adoption de législations récentes, plus musclées, telle que la Loi sur la gestion des matières résiduelles, adoptée en 1998, et la Loi sur la qualité de l’eau potable, votée en 2002, à la suite de la pression du public.
Croissance modérée à forte
Le plus récent Diagnostic industriel et de main-d’œuvre en environnement, réalisé par Zins Beauchesne et associés en 2007, est fort éloquent à propos du dynamisme de l’industrie. Il révèle notamment que 7 entreprises sur 10 prévoient une croissance de modérée à forte au cours des trois prochaines années. Les 77 entreprises interrogées prévoyaient effectuer 1 084 embauches d’ici 2009.
Pas étonnant qu’on parle de pénurie de travailleurs dans ce domaine, ce constat est perçu comme une mutation de l’industrie par Mme Dodier : «Ce n’est pas une pénurie, c’est l’effet de croissance qui cause un déséquilibre. De plus, il y a des postes en pleine émergence qui viennent transformer le marché de l’emploi lié à l’environnement.»
On parle maintenant de chimistes de l’atmosphère, d’ingénieurs en environnement, d’écoconseillers, de spécialistes des communications en environnement, d’avocats de l’environnement, de géographes spécialisés en environnement, de nettoyeurs industriels, etc., autant de titres qui n’existaient pas au début des années 2000.
Tags : emploi , environnement
08 janvier 2009 09:46
Protection de l’eau, qualité de l’air, décontamination des sols, recyclage, compostage, pas question de laisser détruire la Terre, avons-nous dit dans les années 80. Cette prise de conscience mondiale devait conduire à différentes formes de législation nationale et mondiale, dont le célèbre protocole de Kyoto ou les crédits de CO2. Mais encore faut-il agir. Heureusement, ce ne sont pas les métiers et professions qui manquent pour soutenir l’action!
«Au Québec, nous avons passé le cap des 32 000 emplois directement liés au secteur de l’environnement. C’est une croissance de 26 % en trois ans», constate Dominique Dodier, qui dirige l’organisme EnviroCompétences, le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’environnement. L’adoption de la Loi sur la qualité de l’environnement, en 1970, a jeté les bases de cette industrie. Mais cette dernière a vraiment pris son essor avec l’adoption de législations récentes, plus musclées, telle que la Loi sur la gestion des matières résiduelles, adoptée en 1998, et la Loi sur la qualité de l’eau potable, votée en 2002, à la suite de la pression du public.
Croissance modérée à forte
Le plus récent Diagnostic industriel et de main-d’œuvre en environnement, réalisé par Zins Beauchesne et associés en 2007, est fort éloquent à propos du dynamisme de l’industrie. Il révèle notamment que 7 entreprises sur 10 prévoient une croissance de modérée à forte au cours des trois prochaines années. Les 77 entreprises interrogées prévoyaient effectuer 1 084 embauches d’ici 2009.
Pas étonnant qu’on parle de pénurie de travailleurs dans ce domaine, ce constat est perçu comme une mutation de l’industrie par Mme Dodier : «Ce n’est pas une pénurie, c’est l’effet de croissance qui cause un déséquilibre. De plus, il y a des postes en pleine émergence qui viennent transformer le marché de l’emploi lié à l’environnement.»
On parle maintenant de chimistes de l’atmosphère, d’ingénieurs en environnement, d’écoconseillers, de spécialistes des communications en environnement, d’avocats de l’environnement, de géographes spécialisés en environnement, de nettoyeurs industriels, etc., autant de titres qui n’existaient pas au début des années 2000.
Tags : emploi , environnement
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Métiers de l’environnement: Secteur méconnu en croissance
Métro Montréal -
Métiers de l’environnement: Secteur méconnu en croissance
MONEMPLOI.COM
08 janvier 2009 09:52
Pierre Lachance dirige le Conseil des entreprises de services environnementaux, un organisme qui regroupe plus de 50 entreprises et 6 000 travailleurs. «On note certains préjugés sur les métiers de l’environnement, mais il y a surtout de l’ignorance. Les gens sont peu enclins à aller vers ces métiers, malgré leur désir de faire quelque chose pour l’environnement», signale-t-il.
L’industrie n’a pas uniquement besoin de scientifiques, mais également de travailleurs manuels. On manque en effet de conducteurs de camion, de mécaniciens et d’employés dans les centres de tri. Ces métiers n’exigent pas nécessairement une longue formation, mais sont essentiels à la progression de l’industrie.
De nombreux programmes de formation
L’offre de formation est pourtant bien pourvue au Québec, avec près d’une trentaine de programmes de niveau collégial, plus d’une quarantaine de programmes universitaires et même une dizaine de diplômes d’études secondaires, sans compter la formation continue. En moyenne, les entreprises dépensent 2,7 % de leur masse salariale en formation. Fait à noter, il semble que le parc des travailleurs en environnement soit composé en majorité d’hommes (70 %).
Les possibilités sont nombreuses. Les prochaines réglementations en matière de pollution atmosphérique et de gaz à effet de serre susciteront de multiples occasions d’emplois. En outre, maintenant que le gouvernement récompense les villes qui recyclent, la gestion des matières résiduelles se doit d’être efficace, tout comme la gestion des eaux municipales.
L’activité du marché immobilier a elle aussi un impact sur l’industrie de l’environnement. Il suffit de penser à la décontamination des sols, exigée par les banques lors du transfert de propriété. Les grands chantiers, comme le développement éolien, représentent pour leur part un potentiel immense.
«Nous sommes devant un marché noble. Ce sont des métiers qui visent à améliorer le sort de notre planète. Je crois que les nouvelles générations vont être davantage portées vers ces carrières», estime Mme Dodier.
Métiers de l’environnement: Secteur méconnu en croissance
MONEMPLOI.COM
08 janvier 2009 09:52
Pierre Lachance dirige le Conseil des entreprises de services environnementaux, un organisme qui regroupe plus de 50 entreprises et 6 000 travailleurs. «On note certains préjugés sur les métiers de l’environnement, mais il y a surtout de l’ignorance. Les gens sont peu enclins à aller vers ces métiers, malgré leur désir de faire quelque chose pour l’environnement», signale-t-il.
L’industrie n’a pas uniquement besoin de scientifiques, mais également de travailleurs manuels. On manque en effet de conducteurs de camion, de mécaniciens et d’employés dans les centres de tri. Ces métiers n’exigent pas nécessairement une longue formation, mais sont essentiels à la progression de l’industrie.
De nombreux programmes de formation
L’offre de formation est pourtant bien pourvue au Québec, avec près d’une trentaine de programmes de niveau collégial, plus d’une quarantaine de programmes universitaires et même une dizaine de diplômes d’études secondaires, sans compter la formation continue. En moyenne, les entreprises dépensent 2,7 % de leur masse salariale en formation. Fait à noter, il semble que le parc des travailleurs en environnement soit composé en majorité d’hommes (70 %).
Les possibilités sont nombreuses. Les prochaines réglementations en matière de pollution atmosphérique et de gaz à effet de serre susciteront de multiples occasions d’emplois. En outre, maintenant que le gouvernement récompense les villes qui recyclent, la gestion des matières résiduelles se doit d’être efficace, tout comme la gestion des eaux municipales.
L’activité du marché immobilier a elle aussi un impact sur l’industrie de l’environnement. Il suffit de penser à la décontamination des sols, exigée par les banques lors du transfert de propriété. Les grands chantiers, comme le développement éolien, représentent pour leur part un potentiel immense.
«Nous sommes devant un marché noble. Ce sont des métiers qui visent à améliorer le sort de notre planète. Je crois que les nouvelles générations vont être davantage portées vers ces carrières», estime Mme Dodier.
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Le gouvernement veut promouvoir la Green IT en entreprise
Un groupe de réflexion a été créé pour sensibiliser les fabricants informatiques au développement durable et inciter les sociétés à utiliser des solutions éco-responsables.
Sandrine Chicaud, 01net., le 05/01/2009 à 17h00
Outre-Atlantique, Barack Obama s'est clairement affiché comme un président écologique. En France, l'idée commence peut-être aussi à faire son chemin : Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, et Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation et porte-parole du gouvernement, ont en effet décidé de mettre en place un groupe de réflexion sur l'informatique verte, dans le courant du mois de janvier.
Piloté par Michel Petit, président de la section scientifique et technique du Conseil général des technologies de l'information (CGTI), il doit rendre ses premières conclusions en mai 2009. Deux grands axes de travail ont été définis pour l'occasion. Il s'agit, d'une part, d'aider les industriels du secteur à opter pour la « green attitude » et à obtenir d'eux, par exemple, des engagements concrets sur la conception de leurs produits. Le groupe va plancher, entre autres, sur la problématique des datacenters pour qu'ils réutilisent au mieux la chaleur énergétique qu'ils produisent.
D'autre part, l'équipe, constituée de plusieurs acteurs du secteur (industriels, opérateurs, fédérations professionnelles, utilisateurs, etc.), veut réfléchir sur la façon dont elle pourrait encourager les entreprises, et notamment les PME, à s'approprier ces solutions, dites éco-responsables.
Un levier de croissance
Bref, le gouvernement a du pain sur la planche. Pour remplir sa mission, le groupe va s'appuyer sur les premiers travaux du CGTI et du Conseil général de l'écologie et du développement durable sur le sujet. Dans un communiqué, Christine Lagarde rappelle que les TIC, au service du développement durable, constituent un « levier de croissance primordial » dans le contexte actuel et que, mieux exploitées, elles « permettraient de gagner plus d'un demi-point de croissance »...
Sandrine Chicaud, 01net., le 05/01/2009 à 17h00
Outre-Atlantique, Barack Obama s'est clairement affiché comme un président écologique. En France, l'idée commence peut-être aussi à faire son chemin : Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, et Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation et porte-parole du gouvernement, ont en effet décidé de mettre en place un groupe de réflexion sur l'informatique verte, dans le courant du mois de janvier.
Piloté par Michel Petit, président de la section scientifique et technique du Conseil général des technologies de l'information (CGTI), il doit rendre ses premières conclusions en mai 2009. Deux grands axes de travail ont été définis pour l'occasion. Il s'agit, d'une part, d'aider les industriels du secteur à opter pour la « green attitude » et à obtenir d'eux, par exemple, des engagements concrets sur la conception de leurs produits. Le groupe va plancher, entre autres, sur la problématique des datacenters pour qu'ils réutilisent au mieux la chaleur énergétique qu'ils produisent.
D'autre part, l'équipe, constituée de plusieurs acteurs du secteur (industriels, opérateurs, fédérations professionnelles, utilisateurs, etc.), veut réfléchir sur la façon dont elle pourrait encourager les entreprises, et notamment les PME, à s'approprier ces solutions, dites éco-responsables.
Un levier de croissance
Bref, le gouvernement a du pain sur la planche. Pour remplir sa mission, le groupe va s'appuyer sur les premiers travaux du CGTI et du Conseil général de l'écologie et du développement durable sur le sujet. Dans un communiqué, Christine Lagarde rappelle que les TIC, au service du développement durable, constituent un « levier de croissance primordial » dans le contexte actuel et que, mieux exploitées, elles « permettraient de gagner plus d'un demi-point de croissance »...
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