VANCOUVER, le 17 déc. /CNW/ - La population se sensibilisant davantage
aux questions d'ordre environnemental et social, on s'attend de plus en plus à
ce que les entreprises présentent les incidences globales de leurs activités
avec un souci de transparence et de reddition de comptes égal à celui qu'elles
accordent à la présentation de leur information financière. C'est pourquoi
l'Association des comptables généraux accrédités du Canada (CGA-Canada) est
heureuse de donner son appui à un nouveau programme de formation en production
de rapports sur le développement durable offert par LEAD Canada Inc.
LEAD Canada Inc. est la première organisation nord-américaine agréée par
la Global Reporting Initiative (GRI) à fournir des cours de courte durée
reconnus sur l'application au Canada du cadre de production de rapports sur le
développement durable de la GRI, le cadre le plus répandu au monde dans ce
domaine. Ce cadre établit les principes et les indicateurs auxquels les
organisations peuvent avoir recours pour mesurer leur performance économique,
environnementale et sociale et pour produire des rapports sur cette
performance.
"Les lignes directrices de la GRI constituent le meilleur moyen
d'atteindre l'objectif d'uniformisation de la production de rapports sur le
développement durable", soutient le vice-président, Recherche et normalisation
de CGA-Canada, Rock Lefebvre. Dans un rapport de recherche sur les rapports
sur le développement durable publié en 2005, CGA-Canada préconisait l'adoption
des lignes directrices de la GRI en ces termes : "Il est nécessaire de
disposer de lignes directrices reconnues mondialement pour la production des
rapports sur le développement durable, pour assurer l'efficience des marchés
financiers et permettre la comparabilité, l'uniformité et la crédibilité de
l'information."
Le cours de deux jours fournit une formation pratique qui permettra aux
novices de s'initier à la production de rapports sur le développement durable
et aux personnes plus expérimentées, d'améliorer leurs façons de faire. Il
s'adresse aux professionnels de la rédaction et de l'utilisation de rapports,
notamment ceux qui évoluent dans les domaines de la responsabilité sociale des
entreprises, de la mobilisation, de la production de rapports sur le
développement durable, de l'étalonnage, de la certification et de la
communication de l'information. Les participants au cours recevront leur
certificat de réussite directement de la GRI.
"Nous sommes heureux d'être les premiers à offrir des cours de courte
durée reconnus par la GRI aux organisations qui intègrent à leurs activités le
développement durable, la mobilisation des parties prenantes et la
transparence", affirme Mehrdad Nazari, vice-président de LEAD Canada Inc. et
directeur des cours de courte durée associés à la GRI donnés par cette
organisation.
Ces cours seront donnés à Toronto, Montréal, Calgary et Vancouver dans
les prochains mois. Le site www.leadcanada.net contient des renseignements à
ce sujet.
Au sujet de CGA-Canada
Le titre de CGA est le titre comptable professionnel qui connaît la plus
forte croissance au Canada. Grâce à leur souci d'intégrité et d'éthique
professionnelle, ainsi qu'à leur programme de formation dont les critères sont
parmi les plus rigoureux de la profession, les CGA sont des chefs de file dans
les domaines de la comptabilité et des affaires. Ils éclairent tous les
secteurs de l'économie canadienne par leurs conseils stratégiques, leur rôle
prépondérant dans les milieux financiers et leur capacité de direction
d'ensemble.
CGA-Canada établit des normes professionnelles, élabore des programmes de
formation, publie des documents d'intérêt professionnel, prend position sur
des questions de politique publique et représente les CGA tant au Canada qu'à
l'étranger. L'Association représente 71 000 CGA et étudiants au Canada, aux
Bermudes, dans les Caraibes, à Hongkong et en Chine.
<<
Renseignements supplémentaires :
Taylore Ashlie
Directrice, Communications
CGA-Canada
Téléphone : 604 605-5055
Cellulaire : 604 307-0212
tashlie@cga-canada.org
>>
Au sujet du Global Reporting Initiative
La Global Reporting Initiative considère que la présentation
d'informations sur la performance économique, environnementale et sociale de
toute organisation est du même ordre et tout autant systématique que la
présentation de l'information financière. La GRI met cette vision en pratique
en développant, améliorant en continu et construisant cette possibilité autour
de l'utilisation de son cadre de production de rapports, qui repose sur les
Lignes directrices pour le reporting développement durable. Le contenu de ce
cadre est élaboré par consensus, par un réseau international se composant de
milliers d'intervenants venant du milieu des affaires, de la société civile,
des milieux syndicaux et des organismes professionnels.
<<
Renseignements supplémentaires :
questions@globalreporting.org ou
www.globalreporting.org
>>
Au sujet de LEAD Canada Inc.
Issu de la Table ronde nationale sur l'environnement et l'économie en
1994, LEAD Canada Inc. est aujourd'hui un organisme sans but lucratif
indépendant et un programme membre de LEAD International, le plus grand
organisme sans but lucratif du monde à oeuvrer dans le domaine du leadership
et du développement durable.
<<
Renseignements supplémentaires :
Mehrdad Nazari
Vice-président
LEAD Canada Inc.
Téléphone : 715 355-0141
Cellulaire : 715 212-7340
>>
Renseignements: Taylore Ashlie, Directrice, Communications, CGA-Canada,
Téléphone: (604) 605-5055, Cellulaire: (604) 307-0212, tashlie@cga-canada.org;
questions@globalreporting.org ou www.globalreporting.org; Mehrdad Nazari,
Vice-président, LEAD Canada Inc., Téléphone: (715) 355-0141, Cellulaire: (715)
212-7340
articles ou sites dans les domaines connexes à l'environnement pour le CTTEI ou le progamme "Environnement et sécurité et santé au travail" du cégep de Sorel-Tracy
jeudi 18 décembre 2008
Groupe CNW | CONSEIL REGIONAL DE L'ENVIRONNEMENT DE MONTREAL | Agrandissement du site d'enfouissement de Sainte-Sophie : 35 mètres de déchets au-dessus du sol dont on peut se passer
Agrandissement du site d'enfouissement de Sainte-Sophie : 35 mètres de déchets au-dessus du sol dont on peut se passer
MONTREAL, le 17 déc. /CNW Telbec/ - Le Conseil régional de
l'environnement de Montréal (CRE-Montréal) somme le gouvernement du Québec de
refuser catégoriquement la demande d'agrandissement du site d'enfouissement de
Sainte-Sophie, tel que demandé par le propriétaire Waste Management, soit
d'autoriser 29 millions de mètres cubes pour les 25 prochaines années.
L'organisme soutient que les 82 villes de la Communauté métropolitaine de
Montréal (CMM), dont les déchets constituent 40% du volume annuel de
Sainte-Sophie, vont déjà atteindre 60% de détournement des matières
recyclables d'ici un an et que d'ici 2 à 3 ans, elles pourraient obtenir le
même taux pour les matières organiques. Compte tenu de ces éléments, la
demande de Waste Management est tout à fait injustifiée et démesurée.
"Sachant que la CMM a décidé de privilégier le recyclage et le
compostage, il est clair que les 82 municipalités qui la composent sont en
mesure de faire baisser considérablement la quantité de matières envoyées à
l'enfouissement," affirme Coralie Deny du CRE-Montréal. "S'il veut vraiment
atteindre rapidement les objectifs de sa Politique de gestion des matières
résiduelles , le gouvernement du Québec ne doit pas autoriser la demande
d'agrandissement au-delà de 3 ans."
Le CRE-Montréal est convaincu qu'en trois ans il est possible de mettre
en place les infrastructures nécessaires à la valorisation biologique
(compostage ouvert ou fermé et digestion anaérobie) d'au moins 60% des
matières organiques y compris ceux provenant du secteur des ICI (Institutions,
commerces, industries). Certaines villes comme Halifax et Victoriaville, qui
ont investi dans ce type d'infrastructures ont obtenu des résultats plus que
satisfaisants.
Le CRE-Montréal présente aujourd'hui au BAPE son mémoire sur le projet
d'agrandissement du site de Sainte-Sophie, rédigé conjointement avec les CRE
de Laval, de Lanaudière et de la Montérégie. "Le statut quo que veulent
maintenir les grands enfouisseurs de la région montréalaise, comme BFI à
Lachenaie et Waste Management dans ce cas-ci est inacceptable," poursuit
Coralie Deny. " Les gestionnaires de sites d'enfouissement de la région de
Montréal, tel que Waste Management, doivent faire preuve d'un peu plus de
vision en proposant des services intégrés de gestion des matières résiduelles
incluant le recyclage et le compostage sur leur site," conclut Mme Deny.
Le mémoire des CRE sur le projet d'agrandissement de Sainte-Sophie ainsi
qu'une fiche descriptive des différents sites d'enfouissement de la CMM sont
disponibles à l'adresse suivante : www.cremtl.qc.ca
MONTREAL, le 17 déc. /CNW Telbec/ - Le Conseil régional de
l'environnement de Montréal (CRE-Montréal) somme le gouvernement du Québec de
refuser catégoriquement la demande d'agrandissement du site d'enfouissement de
Sainte-Sophie, tel que demandé par le propriétaire Waste Management, soit
d'autoriser 29 millions de mètres cubes pour les 25 prochaines années.
L'organisme soutient que les 82 villes de la Communauté métropolitaine de
Montréal (CMM), dont les déchets constituent 40% du volume annuel de
Sainte-Sophie, vont déjà atteindre 60% de détournement des matières
recyclables d'ici un an et que d'ici 2 à 3 ans, elles pourraient obtenir le
même taux pour les matières organiques. Compte tenu de ces éléments, la
demande de Waste Management est tout à fait injustifiée et démesurée.
"Sachant que la CMM a décidé de privilégier le recyclage et le
compostage, il est clair que les 82 municipalités qui la composent sont en
mesure de faire baisser considérablement la quantité de matières envoyées à
l'enfouissement," affirme Coralie Deny du CRE-Montréal. "S'il veut vraiment
atteindre rapidement les objectifs de sa Politique de gestion des matières
résiduelles , le gouvernement du Québec ne doit pas autoriser la demande
d'agrandissement au-delà de 3 ans."
Le CRE-Montréal est convaincu qu'en trois ans il est possible de mettre
en place les infrastructures nécessaires à la valorisation biologique
(compostage ouvert ou fermé et digestion anaérobie) d'au moins 60% des
matières organiques y compris ceux provenant du secteur des ICI (Institutions,
commerces, industries). Certaines villes comme Halifax et Victoriaville, qui
ont investi dans ce type d'infrastructures ont obtenu des résultats plus que
satisfaisants.
Le CRE-Montréal présente aujourd'hui au BAPE son mémoire sur le projet
d'agrandissement du site de Sainte-Sophie, rédigé conjointement avec les CRE
de Laval, de Lanaudière et de la Montérégie. "Le statut quo que veulent
maintenir les grands enfouisseurs de la région montréalaise, comme BFI à
Lachenaie et Waste Management dans ce cas-ci est inacceptable," poursuit
Coralie Deny. " Les gestionnaires de sites d'enfouissement de la région de
Montréal, tel que Waste Management, doivent faire preuve d'un peu plus de
vision en proposant des services intégrés de gestion des matières résiduelles
incluant le recyclage et le compostage sur leur site," conclut Mme Deny.
Le mémoire des CRE sur le projet d'agrandissement de Sainte-Sophie ainsi
qu'une fiche descriptive des différents sites d'enfouissement de la CMM sont
disponibles à l'adresse suivante : www.cremtl.qc.ca
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