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mardi 24 février 2009

Programme d'accréditation pour les gaz à effet de serre - Conseil canadien des normes

Accréditation des organismes
Le programme d'accréditation pour les gaz à effet de serre (PAGES) du Conseil canadien des normes évalue la compétence des organismes qui calculent les émissions de gaz à effet de serre (GES).
Avant d'accorder l'accréditation à un organisme, le Conseil canadien des normes (CCN) examine les pratiques de celui-ci afin de vérifier qu'elles sont conformes aux exigences énoncées dans la norme ISO pour les organismes de validation et de vérification des déclarations de gaz à effet de serre (ISO/CEI 14065), norme qui a été adoptée au Canada sous la forme du CAN-P-20.
Selon cette norme, les organismes de validation et de vérification doivent prouver leur respect des spécifications établies – dans la collection des normes ISO sur les gaz à effet de serre (ISO/CEI 14064 : parties 1 à 3) – pour calculer les émissions et leur réduction ou leur suppression, et en rendre compte.
(lire l'article complet)Les activités de validation et de vérification des déclarations"

lundi 3 novembre 2008

GES par habitant : le Québec chef de file | Politique verte

La bonne nouvelle : Le Québec affiche toujours le plus faible taux d'émissions de gaz à effet de serre (GES) par habitant au pays.

La mauvaise : il a été incapable de réduire ses émissions ne serait-ce que d'une tonne au cours des 15 dernières années.

Le ministère de l'Environnement publiera à 10h30 les plus récents chiffres de l'Inventaire québécois des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que leur évolution entre 1990 et 2006.

On y apprend entre autres que le Québec a vu ses émissions totales croître de 1,6 % depuis 1990, année de référence du protocole de Kyoto. Il s'agit de l'un des plus faibles taux d'augmentation au Canada, loin derrière la Saskatchewan (63,6 %), l'Alberta (36 %) et la Colombie-Britanique (27,4 %).

Dans l'ensemble, le Québec émettait en 2006 quelque 84 Mt de GES, ce qui représente 11,7 % du total canadien. La province fait ainsi belle figure en comparaison avec l'Ontario et l'Alberta, qui émettaient respectivement 190 Mt (26,2 %) et 234 Mt (32,3 %) du bilan canadien des émissions de GES.

Si l'on s'attarde plutôt aux émissions par habitant, le Québec fait meilleure figure encore. Depuis 1990, celles-ci ont diminué de 7 % pour s'établir à 11,1 tonnes par habitant.

mercredi 2 mai 2007

Les lampes fluorescentes compactes constituent-elles un choix réellement écologique?

Lettre de Philippe Terrier - ÉTS: "Réduction des gaz à effet de serre
Les lampes fluorescentes compactes constituent-elles un choix réellement écologique?

Ampoule fluorescente compacte
Ampoule fluorescente compacte

La Presse, 27 avril 2007
Lettre de Philippe Terrier
Spécialiste en énergies renouvelables
et développement durable
Chargé de cours à l'ÉTS

Dans cette lettre, je ne m’attarderai pas à évaluer si le transfert modal des lampes à incandescence (LI) vers la technologie fluorescente compacte (LFC) est une stratégie significative en termes de réduction des gaz à effet de serre (GES). Bien évidement, les objectifs de réduction de GES associés à ce choix méritent d’être comparés avec les quantités rejetées par l’industrie des sables bitumineux opérant en Alberta, province qui contribue à hauteur de 30 % dans les 750 millions des tonnes de GES émises annuellement sur le territoire Canadien… Mais ce n’est pas ici le cœur de mon propos. Cette question a déjà été soulevée et traitée par de nombreux chroniqueurs.

Ma réflexion est articulée autour des questions suivantes : Est-ce que de passer de la lampe à incandescence (LI) à la fluorescente compacte (LFC) constitue réellement un choix écologique? Y a-t-il des facteurs externes que l’on aurait omis de nous présenter? Comment pourrait-on prendre une décision «éclairée» dans ce dossier?