vendredi 8 juin 2007

Environnement


Dechetcom - Rapport - L’éthanol ferait-il la loi dans le mon...

L’éthanol ferait-il la loi dans le monde agricole?

Carburant Ethanol  L’éthanol est en train d’opérer une régulation du marché par le haut, aux Etats-Unis. Ce que n’a pas (encore) réussi à faire le ministère de l’agriculture français. Le prix du maïs a doublé et personne n’a vu venir cette progression fulgurante…Le maïs destiné à la production de biocarburant a raflé plus de 15% d’acres supplémentaires aux Etats-Unis qui consacrent désormais 8 à 10 millions d’hectares à la culture du maïs… Et rien ne semble freiner le développement des biocarburants dans le monde : ni le repli de cours du pétrole, ni les questions de rentabilité, ni les débats lancés par les septiques sur la compétition entre alimentaire et non alimentaire pour l’utilisation des terres…

Elisabeth Lacoste, Secrétaire générale de la Confédération des Betteraviers Européens, spécialiste en la matière, nous expose la situation  mondiale…


 L’extraordinaire développement du modèle brésilien qui se veut un exemple pour les pays du sud et l’exceptionnelle croissance de l’éthanol américain, dopée par le profit et par la nécessité de prévoir l’après pétrole génère peut être ce nouvel engouement qui a caractérisé l’ensemble des zones concernées. Un Président Bush qui se voit à la tête d’un nouvel OPEP de l’éthanol et un Al Gore luttant cotre le réchauffement climatique, illustrent la rupture constatée l’an dernier. La révolution apportée par les cultures énergétiques se confirme plus que jamais en 2007 et le bioéthanol gagne sa place dans le package énergétique…

 Les Etats-Unis prennent la tête de peloton

Environnement

edie news centre - Redefinition of waste should increase rec...

Redefinition of waste should increase recycling (6 June 2007)

Classifying a host of waste products as raw materials could break down the administrative barriers that currently make them difficult to reuse.

Cutting red tape will make it easier to turn millions of tonnes of industrial and commercial waste into usable materials, according to the Environment Agency and Government-funded recycling champion WRAP (the Waste & Resources Action Programme).

The initiative, the Waste Protocols Project, follows in the footsteps of a successful trial in this area which redefined composted waste that met certain standards as a
Non-waste product (see related story).

The second round of the project will focus on five major waste streams:

  • Steel slag from steel manufacture, which can be reused in construction and building materials and as an agricultural fertiliser.

  • Gypsum from waste plasterboard which can be used to make new plasterboard and in cement products.

  • Incinerator bottom ash which is made up from glass, porcelain, brick, gravel, sand, slag and ash from household waste that is burnt in incinerators, and can be used as aggregate in construction materials.

  • Paper mill ash which is produced when sludge from paper making is burnt for energy recovery and the ash can be used as an aggregate.

  • Uncontaminated top soil from greenfields and development sites can be reused on a wide range of horticultural and leisure sites such as parks, golf courses and football pitches.

    In addition the protocol will also look at the status of the by-products of anaerobic digestion, the technique of disposing of food waste favoured in the recently published Waste Strategy.

    The project will set standards that the by-products must meet and, should they do so, will do away with the need for costly licensing to dispose of or transport waste.

    It will also serve as a kitemark giving potential purchasers assurances that the recycled waste is fit for purpose.

    Martin Brocklehurst, head of external programmes for the EA said: "According to industry figures, it currently costs them around £150m each year to landfill these five types of waste.

    "The Waste Protocols Project will look at the current environmental risk posed by the five type of waste chosen today and wherever possible remove the need for companies to hold the permits and licences that they need.

    "Part of our work is to set out an agreed standard for the treating and handling of a type of waste. If these are followed by the businesses that produce or reprocess the waste it gets rid of the "waste" tag, making the waste derived products more marketable and attractive to buyers."

    WRAP's director of organics Dr Richard Swannell added: "Earlier this year we produced the first Quality Protocol, for compost which allowed producers to create a type of compost which is no longer classed as a waste, making it a more attractive product to those who buy it."

    "This first protocol is testament to what is achievable through the collaborative working approach shown by the Environment Agency, WRAP business and industry.

    "The five wastes we have announced today will go some way in helping reduce the amount of waste disposed in landfills every year as well as helping to create valuable products."

    The Environmental Services Association, a trade body which represents many companies working in the waste management sector, has also welcomed the progress on the protocols.

    "Waste protocols help clarify when materials are fully recovered, providing certainty to waste managers, recyclers and end users," said an ESA spokesman.

    "Whilst supporting work on a number of protocols, ESA is particular pleased that incinerator bottom ash aggregate has been included, as this can play a valuable role in replacing virgin material, reducing the need for quarrying and reducing CO2 emissions from transport."

    Sam Bond


    Source: edie newsroom


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  • Environnement

    Spécial Ecologie: télécoms et développement durable, informa...

    Spécial Ecologie: télécoms et développement durable, informatique et environnement, ordinateurs pollueurs, recyclage des e-déchets...

    spécial écologie
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    La protection de l'environnement est devenue une valeur phare dans nos sociétés. Et les acteurs télécoms et informatiques ne peuvent décemment pas ignorer cette nouvelle préoccupation. Les déchets électroniques sont en effet une des principales sources de pollution. En outre, la question de la réduction de la consommation d'énergie se pose avec plus d'acuité...
     
    En quoi l'ordinateur représente-t-il un défi à relever en matière écologique? Quelles initiatives les opérateurs et les équipementiers télécoms prennent-ils en faveur du développement durable? Quelles stratégies environnementales le monde de l'informatique a-t-il mis en place? Comment s'opère, aujourd'hui dans le monde, le recyclage de nos déchets électroniques?
     
     
    Les réponses à ces questions sont dans ce dossier spécial Ecologie...
     
    Bonne lecture!
     
    Dossier rédigé et coordonné par Anne Confolant et Mathilde Cristiani

    Photocatalyse et technologies émergentes

    (TANO) Photocatalyse et technologies émergentes | Ecrin

    (TANO) Photocatalyse et technologies émergentes

    Les Cégeps passent au vert

    Le tiers des cégeps prennent le virage vert | National | Cyb...

    Le tiers des cégeps prennent le virage vert

     (Photo archives La Presse)
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    Photo archives La Presse

    Presse Canadienne

    Montréal

    Près du tiers des cégeps québécois ont pris le virage vert.



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    En effet, 25 cégeps et collèges ont choisi depuis trois ans de poser des gestes concrets pour la protection de l'environnement, obtenant la certification de «cégep vert du Québec».

    Cette certification s'appuie sur des objectifs réalistes et ne signifie pas que les maisons d'enseignement se sont imposé des objectifs sur le volume de déchet récupéré ou la réduction de gaz à effet de serre.

    Le directeur d'Environnement Jeunesse, Jérôme Normand, explique préférer utiliser la stratégie concrète des petits pas plutôt que de lancer des objectifs spectaculaires qui seront difficiles à atteindre.

    Pour lui, il s'agit de créer une culture de gestion environnementale tout en éduquant et en formant l'ensemble des acteurs impliqués dans la vie d'un collège.

    Actuellement, près de 60 000 étudiants, 35 000 employés et des centaines de collaborateurs sont impliqués dans les projets.

    mercredi 6 juin 2007

    Environnement

    2007/05/31 > BE Canada 319 > Le CNRC construit la pile à com...

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    Energie
    Le CNRC construit la pile à combustible à oxyde solide de 2010... maintenant (information)

    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/42980.htm

    La pile à combustible à oxyde solide (Solid Oxide Fuel Cell, SOFC) est une des solutions technologiques les plus efficaces pour contrer la pollution résultant de la dépendance du monde moderne aux énergies fossiles. Ce dispositif, qui produit de l'électricité, ne pollue pas l'atmosphère, ne fait pas de bruit et libère uniquement de l'eau et de la chaleur.

    Afin de perfectionner cette technologie prometteuse, les spécialistes en piles à combustible du Conseil National de Recherches Canada (CNRC) se sont associés au 6ème Programme-Cadre pour la recherche et la technologie (PC) de la Commission Européenne ainsi qu'à des organismes internationaux. La pile à combustible mise au point par le CNRC a déjà atteint les objectifs du Programme fixés pour 2010. "Le projet s'intitule Demonstration of SOFC stack technology for operation at 600°C ou SOFC600", explique Radenka Maric, chef du groupe des piles à combustible à haute température de l'Institut d'Innovation en Piles à Combustible (IIPC-CNRC).

    L'objectif final est de créer des piles à oxyde solide économiquement rentables qui produiront efficacement de l'énergie sans polluer. Pour cela, le projet a été morcelé en objectifs plus modestes confiés aux divers membres de l'équipe, afin d'obtenir une SOFC de 1 kW fonctionnant à 600°C d'ici 4 ans. En plus d'être écologiques, les piles à combustible se caractérisent par un bon rendement. Ainsi, le rendement d'une SOFC peut atteindre 70%, en comparaison de 30% pour une centrale thermique. Cependant, il reste des obstacles techniques à surmonter, le principal étant la température. Actuellement, les SOFC fonctionnent à environ 1000 C, ce qui les détériore rapidement. L'équipe teste aussi de nouveaux matériaux, plus performant et moins chers que le platine actuellement employé. L'autre innovation est la technologie du dépôt réactif par pulvérisation : des pellicules extrêmement minces d'un matériau conducteur sont déposées sur le substrat de la pile avec une très grande précision. Plus les couches sont minces, moins il y a de résistance, d'où une meilleure performance à une température inférieure à celle des piles existantes.

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    Pour en savoir plus, contacts :

    - Domaines de recherche : Piles à combustible - http://www.nrc-cnrc.gc.ca/randd/areas/fuelcells_f.html
    - Institut d'innovation en piles à combustible du CNRC (IIPC-CNRC) - http://ifci-iipc.nrc-cnrc.gc.ca/main_f.html
    - Le programme des piles à combustible à oxyde solide de l'IIPC-CNRC - http://ifci-iipc.nrc-cnrc.gc.ca/research/sofc_f.html

    Code brève
    ADIT :
    42980

    Source :

    http://www.nrc-cnrc.gc.ca/highlights/2007/0705sofc_f.html