jeudi 5 mars 2009

"Les papetiers s’inquiètent pour le recyclage

JDLE - Journal de l'environnement:
05/03/2009 11:29
Revipap, le groupement français des papetiers utilisateurs de papiers recyclables, s’inquiète de l’impact de la crise sur le recyclage des papiers et cartons récupérés. Et compte s’attaquer au gisement des papiers de bureaux, encore peu collectés.
par Victor Roux-Goeken

«Ces dernières années, nous avons manqué de papiers cartons, et tout à coup, nous assistons à une baisse de la demande de 10 à 15%», a constaté Philippe d’Adhemar, président de Revipap, lors de la présentation du bilan 2007-2008 du recyclage des papiers et cartons récupérés (PCR), mardi 3 mars.

«La très forte volatilité des prix à la hausse, puis à la baisse, est préjudiciable à l’ensemble de la filière. Quand les prix baissent, tous les efforts de tri et de collecte réalisés depuis des décennies risquent d’être désamorcés», selon Noël Mangin, délégué général de Revipap.

2008 aura donc été «une période à deux visages», selon le groupement: hausse du cours des produits récupérés durant le premier semestre 2008, avant un brutal retournement de situation à la rentrée. Résultat: la récupération des PCR s’est réduite de 2,6% entre 2007 et 2008 (de 7.068 à 6.887 kilotonnes), tout comme la production de PCR (- 4,4%, de 7.068 à 6.887 kt) et leur consommation (-4,6%, de 9.855 à 9.425 kt). Mais le taux de récupération est resté stable, (de 63,5 à 64,3%).

La baisse des cours des PCR incite-t-elle toujours les industriels à les recycler à un coût plus élevé qu’un traitement type enfouissement ou incinération, ce dont se sont inquiétés les Etats membres lors du dernier Conseil environnement (1)? Pas pour Revipap, qui estime que les acteurs de la filière sont suffisamment responsables pour ne pas tomber dans ces pratiques."
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mardi 3 mars 2009

Opel dévoile à son tour son modèle électrique | GreenUnivers

Mêmes commentaires... combien couterons ces voitures? Voila la raison de l'échec ou du succès. Quand on parle , comme GM d'un prix autour de 40000,00$ , c'est prohibitif.
"La voiture électrique sauvera-t-elle le constructeur allemand ? La marque à l’éclair, qui espère le soutien financier de Berlin pour éviter la faillite, présente cette semaine au salon de l’automobile de Genève son premier modèle électrique, l’Ampera.

L’Ampera reprend la technologie développée par la maison mère d’Opel, General Motors, pour sa future Chevrolet Volt. Elle est équipée d’une batterie lithium-ion de 16 kWh qui permet de parcourir les 60 premiers kilomètres uniquement grâce à l’électricité, donc sans émissions de CO2. Au-delà, un moteur à combustion produit l’électricité nécessaire. Il se déclenche automatiquement et permet de parcourir jusqu’à 500 kilomètres. Ce n’est donc pas un modèle hybride traditionnel."

Peugeot vendra en Europe une voiture électrique fabriquée par Mitsubishi | GreenUnivers

Tout le monde veux sa voiture électrique. Mais est-ce la solution? Que fera-t-on au Québec où c'est peut être l'une des solutions? Ce sera à quel prix?

"Pour intégrer le club naissant des vendeurs de voitures électriques, PSA Peugeot Citroën s’est allié au japonais Mitsubishi Motors, déjà son partenaire dans diverses joint-ventures. Ils lanceront ensemble une voiture électrique en Europe fin 2010, construite par Mitsubishi sur le modèle de sa voiture électrique déjà existante la « i MiEV ». Elle sera vendue sous la marque Peugeot, qui s’épargne ainsi les coûts de développement.

L’iMiev, rechargeable sur prise secteur et équipée d’une batterie lithium-ion, est déjà en test au Japon et sera testée à Hong Kong fin 2009, notamment pour évaluer les besoins en stations de recharge.

Son rival Renault-Nissan, accélère ses projets électriques dans son pays de prédilection dans ce domaine, le Portugal : également lundi, Nissan Motor a conclu un accord avec le gouvernement portugais pour étudier un investissement de 300 à 400 millions d’euros dans une usine de batteries lithium-ion, avec une capacité de production de 50.000 unités par an."
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Vision Durable - Une idée pour réemployer des bidons de plastique

Vision Durable - Une idée pour réemployer des bidons de plastique: "Une quincaillerie Rona a une idée de réemploi de contenants de matière plastique qui pourrait faire des petits à l'échelle du Québec.

Les bidons de lave-glace deviendront des galons fleuris. La partie du haut sera coupée et la partie du bas sera remplie de fleurs. Les succursales de L'Assomption, Le Gardeur, Crabtree et Berthierville de la quincaillerie Rona Limoges et Frères octroieront des rabais de 2,50$ à l'achat de gallons fleuris de 7,50$ à tous les clients qui rapporteront un gallon vide.

C'est ce que rapporte la dernière édition du journal Hebdo Rive Nord (27 février). Le magasin Rona Limoges et Frères souhaite atteindre le plateau des 800 galons et songe à étendre l'idée à la grandeur du Québec. «Nous voulons, possiblement pour l'année prochaine, instaurer ce projet à la grandeur du Québec», a dit Clément Limoges, propriétaire des succursales de L'Assomption et Le Gardeur.

Cette quincaillerie, précise Hebdo Rive Nord, a adhéré au niveau «engagement» du programme ICI on recycle de Recyc-Québec. L'entreprise a notamment doté chaque employé d'une tasse thermos, afin de remplacer les verres de styromousse, et offre aux clients des sacs recyclables. Le Comité d'Actions Durables de la MRC de L'Assomption a endossé l'idée de réemploi des bidons de lave-glace."
article original sur "Veille environnement"

Vision Durable - Les changements climatiques préoccupent les investisseurs

"Les entreprises qui ne dévoilent pas leur bilan de gaz à effet de serre et qui ne disent pas ce qu'elles font pour freiner les changements climatiques ont tort. Car les investisseurs veulent savoir.

«Les investisseurs institutionnels exigent des entreprises qu’elles communiquent les risques auxquels les exposent les changements climatiques, non seulement matériels et réglementaires, mais aussi pour la réputation et d’éventuels litiges, ainsi que les stratégies adoptées pour les maîtriser. De plus, les entreprises dominantes reconnaissent qu’elles ont intérêt à dire comment elles gèrent les risques», indique un nouveau rapport publié par le Conference Board du Canada.

Par ailleurs, cet organisme d'affaire signale que 90 des 103 entreprises canadiennes cotées en Bourse qui ont répondu à un sondage envoyé en 2008 ont indiqué que les changements climatiques présentaient des occasions économiques. En revanche, 85 ont dit que les changements climatiques s’accompagnaient de risques matériels et réglementaires ainsi que de risques nuisant à la conduite générale de leurs affaires."
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