articles ou sites dans les domaines connexes à l'environnement pour le CTTEI ou le progamme "Environnement et sécurité et santé au travail" du cégep de Sorel-Tracy
lundi 29 octobre 2007
globeandmail.com: Abundance of freshwater 'a myth'
mercredi 3 octobre 2007
Canoe – Infos – Québec-Canada: La marine canadienne relâche ses règles environnementales
lundi 24 septembre 2007
Vision Durable : développement durable > Toutes vos nouvelles > L’Est de l’île de Montréal veut encourager la vague durable
Conseillé vert!
Le nouveau bras droit de Jean Charest est un homme d’affaire vert
par Alexis Beauchamp Voir tous les articles de Alexis Beauchamp Texte mis en ligne le 21 septembre 2007 à 10:10 Soyez le premier à commenter ce texte2007/09/20 > BE Allemagne 353 > Les énergies renouvelables créent toujours plus d'emplois en Allemagne
France 24 - monde : 22/09/07 Montréal : accord sur la protection de la couche d'ozone
(intégralité de l'article )
Tolerance.ca® - L’environnement : engouement passager ou préoccupation réelle ?
(lire la suite de cet article)
mercredi 19 septembre 2007
ONU La fin de l'hypocrisie
ONU et environnement: pour mettre fin à l'hypocrisie
par Anne RobertVoir tous les articles de Anne Robert
Texte mis en ligne le 17 septembre 2007 à 16:11
Soyez le premier à commenter ce texte
Diplomate, Achim Steiner a refusé de pointer du doigt le ministre fédéral de l’Environnement John Baird, présent dans la salle. Il se contente de renvoyer le débat aux citoyens canadiens mais invite le Canada à jouer «le rôle de pionnier qui a été le sien dans le passé».
Quant aux États-Unis qui y vont de leurs menaces de faire chambre à part, pas d’accusations non plus. Achim Steiner note toutefois «un réel changement dans l’attitude de l’administration américaine».
Et en ce qu’il s’agit du débat entre la croissance et le coût de la mise en place des mesures contre le changement climatique, il n’existerait qu’en raison de «l’interprétation étroite des externalités par ceux qui conçoivent des politiques publiques».
Le directeur exécutif du PNUE se réfère au rapport Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), qui évalue le coût global à 0,1% du PIB mondial.
(lire la suite)
mardi 18 septembre 2007
Vision Durable : développement durable > Toutes vos nouvelles > ONU et environnement: pour mettre fin à l'hypocrisie
PIB, développement durable et écologie ne font pas bon ménage - Econologie.com : écologie, économie, énergie, pétrole, moteurs, énergies renouvelables
Efficacité énergétique: Les Américains débarquent en Chine
Le borgne guidant l'aveugle (ndlr)
Efficacité énergétique: Les Américains débarquent en Chine
Texte mis en ligne le 18 septembre 2007Des experts du Département de l’Énergie (DOE) des États-Unis analyseront la consommation énergétique d’une douzaine d’installations industrielles chinoises et feront ensuite des recommandations pour améliorer leur efficacité Alors que le secteur de l’industrie est responsable de 70 % de la consommation... par Alexis Beauchamp / Voir tous les articles de Alexis Beauchamp
Autre nouvelle : 20e anniversaire du Protocole de Montréal
Autre nouvelle : En bref: le Consortium Écho-Logique
jeudi 16 août 2007
Les provinces et l'environnement
Environnement: «Les provinces doivent prendre le leadership»
Les premiers ministres des provinces sont réunis à Moncton dans le cadre du Conseil de la fédération. |
La Presse
Moncton
Devant «l'inaction d'Ottawa» en matière de lutte contre les changements climatiques, les provinces doivent «prendre le leadership» et se fixer des objectifs ambitieux et concrets, a soutenu hier une coalition de groupes environnementalistes en marge du Conseil de la fédération, à Moncton.
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Équiterre, la Fondation David-Suzuki, le Conseil de la conservation du Nouveau-Brunswick et d'autres ont sommé, hier, les premiers ministres des provinces et territoires de prendre trois mesures concrètes dès maintenant. Réglementer les émissions du secteur industriel, adopter les normes californiennes d'émission réduites sur les véhicules, et mettre sur pied des normes d'efficacité énergétique dans la construction de bâtiments sont au coeur des priorités, selon les environnementalistes.
«Les provinces ont les compétences constitutionnelles pour s'attaquer à 90% des émissions de gaz à effets de serre sur leur territoire», a indiqué Dale Marshall, de la Fondation David-Suzuki. Les activités industrielles, les ressources naturelles, l'électricité et le transport routier sont tous de compétences provinciales.
Selon Hugo Séguin, coordonnateur chez Équiterre, il n'est «pas souhaitable» que les premiers ministres réunis à Moncton en viennent à un consensus aujourd'hui, puisque les objectifs beaucoup moins ambitieux de l'Alberta en matière de réduction des gaz à effet de serre dilueraient une éventuelle position commune des provinces.
L'Alberta et le gouvernement fédéral devront à un moment donné emboîter le pas dans la réduction en terme absolu des émissions de GES, ont toutefois soutenu les environnementalistes.
Les discussions des 13 premiers ministres du Canada ont porté tout l'après-midi sur les changements climatiques, sans qu'aucun consensus ne soit toutefois intervenu.
Le premier ministre de l'Alberta, Ed Stelmach, montré du doigt comme le plus réfractaire, a maintenu sa position ferme contre des cibles de réduction absolues et contre une Bourse du carbone. «Personne ne m'a convaincu, a-t-il affirmé à la sortie de la rencontre avec ses homologues. Je ne vois pas l'intérêt de continuer à émettre autant en achetant des crédits ailleurs (dans un éventuel marché du carbone). Il vaut mieux investir dans la mise au point de technologies vertes.» M. Stelmach s'est toutefois défendu de bloquer la progression d'ententes ambitieuses entre les provinces sur les changements climatiques en rappelant que son gouvernement a adopté son propre plan de réduction des émissions, mais avec des cibles d'intensité seulement, ce qui est moins contraignant.
Le premier ministre ontarien, Dalton McGuinty, s'est pour sa part montré ouvert à l'adoption de normes de réduction d'émissions, rappelant toutefois que l'industrie automobile en Ontario représente 326 000 emplois qu'il ne faudrait pas mettre en péril. Le Conseil devrait présenter un plan d'action commun ce midi, en clôture de la rencontre annuelle.
ARGENT - Le gouvernement agira cet automne pour réduire l'usage de sacs en plastique
mercredi 27 juin 2007
Veille Cégeps
L'Institut de technologie agroalimentaire reçoit la certification Cégep Vert du Québec
Roxane Martine Coutu, Institut de technologie agroalimentaire du Québec
le 27 juin 2007
La Pocatière – Les deux campus de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA) prennent le « virage vert ». En effet, le 7 juin dernier, l'organisme ENvironnement JEUnesse annonçait que 25 cégeps et collèges québécois, dont les deux campus de l'ITA, avaient obtenu la certification Cégep Vert du Québec.
À sa première année de participation, l'ITA reçoit la certification de niveau 1. Pour ce faire, l'ITA a mis en place un comité d'action et de concertation en environnement. Il a aussi adopté sa propre politique environnementale. Il a profité d'au moins quatre formations relatives à l'environnement et a réalisé quatre activités de sensibilisation.
La certification Cégep Vert du Québec a pour objet de munir les collèges et cégeps de structures de gestion qui prennent en considération le développement durable selon un principe d'amélioration continue. Il s'agit de créer une culture de gestion environnementale en éduquant et en formant l'ensemble des acteurs de la vie du collège en vue d'un avenir viable. Cette année, le programme est mis en oeuvre grâce à la participation financière de Recyc-Québec et du Fonds d'action québécois pour le développement durable.
Rappelons que l'Institut de technologie agroalimentaire est le centre de formation technologique spécialisé en agroalimentaire et de langue française le plus important en Amérique du Nord. Il offre sept programmes d'enseignement collégial en agroalimentaire, dont certains donnent accès à des études universitaires. Pour obtenir plus d'information sur l'ITA, il suffit de consulter le site Internet www.ita.qc.ca ou de téléphoner au 418 856-1110.
jeudi 21 juin 2007
Environnement
ENVIRONNEMENT - Tri, déchets et pollution
D’un coté les poubelles pleines, les conteners de recyclages vides, les voitures abandonnées en pleine rue, la pollution latente de l’air. De l’autre la municipalité, sa bonne volonté et son obstination à rassurer. Qu’en est il vraiment des problèmes environnementaux à Athènes ? Où vont tous ces déchets ? (photo LPJ) Des effort mais pas d’éducation Petit sondage : |
mardi 19 juin 2007
Environnement
Environnement
Les précipitations tropicales liées à la fonte des glaces polaires
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/43117.htm
Des scientifiques de Kiel viennent de montrer que des modifications climatiques aux pôles ont des répercussions directes et rapides sur la température et les précipitations en régions tropicales : une augmentation de la température polaire est suivie d'une forte pluviométrie tropicale alors qu'à l'inverse, lorsque les températures chutent brusquement au Pôle Nord, l'Afrique manque d'eau.
Pour parvenir à cette conclusion, les géologues de Kiel ont analysé une carotte de 37 mètres de long, prélevée en 2003 au fond du Golfe de Guinée, au niveau des embouchures des fleuves Niger et Sanaga. Ils ont étudié des couches calcaires de foraminifères, une classe de protozoaires qui s'accumulent dans les fonds marins au cours des siècles et représentent de bon bio-indicateurs des changements environnementaux. Ces fossiles, ou plus précisément le ratio baryum/calcium dans leurs tests (aussi appelés, à tort, coquilles), donne une indication sur la part d'eau douce apportée par les fleuves dans le golfe de Guinée durant cette période. Ainsi, plus la proportion de baryum est importante, plus l'eau douce a rejoint la mer et donc plus les précipitations étaient importantes sur le continent.
Ces résultats ont été comparés aux données recueillies par carottage glaciaire au nord du Groenland. Les conclusions montrent que les modifications pluviométriques extrêmes au-dessus de l'Afrique de l'Ouest n'ont nécessité que 40-50 ans pour s'établir et ont dans une large mesure suivi les changements climatiques polaires.
Le Dr. Syee Weldeab, auteur principal de l'étude et géologue à l'Institut Leibniz de Sciences Marines de l'Université de Kiel (IFM-GEOMAR) apporte la conclusion suivante : "On supposait jusqu'ici que les précipitations en Afrique de l'Ouest étaient déterminées principalement par l'irradiation solaire du continent. Cette théorie est correcte, toutefois, la preuve vient clairement d'être apportée que les moussons réagissent également de manière sensible aux modifications transitoires des calottes polaires. Ceci semble être particulièrement le cas pour les périodes chaudes, comme celle dans laquelle nous nous trouvons actuellement".
Cette étude apporte par ailleurs une raison supplémentaire de ne pas négliger la question du réchauffement climatique : le passage d'une période humide à une période sèche, ou inversement, pouvant s'établir si rapidement, les écosystèmes ont tout juste le temps de s'adapter et par conséquent l'agriculture et les modes de vie peinent à faire face à de tels bouleversements.
Environnement
Transport / Environnement
Une voiture branchée sur le réseau électrique (information)
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/43277.htm
Les Torontois verront bientôt sur leurs routes une dizaine de voitures hybrides branchées, c'est-à-dire des hybrides que l'on peut brancher dans une fiche électrique de maison (110 volts) afin de rouler en mode électrique plus longtemps. Cette technologie permettrait de diviser par deux la consommation d'essence des voitures hybrides classiques, qui sont déjà les plus économes sur le marché.
Huit Toyota Prius, une Civic hybride et une Ford Escape hybride seront modifiés afin de vérifier leur fonctionnement quotidien dans un environnement urbain. L'objectif est d'avoir 200 voitures hybrides branchées sur la route dès 2008. Cette technologie permet de réduire la consommation d'essence de manière importante tout en diminuant la pollution atmosphérique et les émissions de gaz à effet de serre (GES), surtout si l'électricité est hydroélectrique ou nucléaire.
Des batteries supplémentaires seront ajoutées à dix hybrides, ce qui leur permettra d'emmagasiner plus d'énergie électrique, et donc de rouler en mode presque complètement électrique durant une portion des déplacements, qui équivaudrait aux premiers 50 km d'un voyage. Puisque les déplacements quotidiens sont souvent plus courts, les gains potentiels sont alléchants.
Un avantage important du "modèle branché" est que son autonomie de déplacement n'est pas contrainte par le mode électrique. Alors qu'un aller-retour Québec-Montréal est difficilement envisageable avec une voiture seulement électrique sans une recharge, l'hybride branchée pourrait faire une partie du voyage en mode hybride avant de passer à l'essence pour le reste du périple, et faire le plein d'essence lorsque nécessaire.
Il faudrait toutefois atteindre une masse critique de voitures hybrides branchées, et développer une technologie permettant aux hybrides de "redonner" l'électricité au réseau. Les propriétaires pourraient ainsi rentabiliser encore davantage leur achat.
Il est enfin intéressant de noter qu'aucune initiative similaire n'existe actuellement au Québec, qui tire environ 94% de son électricité de sources hydrauliques, ce qui permettrait de maximiser les gains potentiels d'une technologie dont l'utilité dépend directement de la source d'électricité alimentant le réseau auquel il est rattaché.
jeudi 14 juin 2007
Environnement
La SAQ et l’environnement ou l’éléphant qui accouche d’une souris
Opinion du citadin
Ricardo Codina
Mots clés: Fondation de la faune du Québec , La Liquor Control Board of Ontario , LCBO , sacs cotons , sacs réutilisables , SAQ , Société des alcools du Québec
LA VIE RURALE – QUÉBEC – 13 Juin 2007
La Société des Alcools du Québec annonce aujourd’hui qu’elle va multiplier ses efforts pour agir au quotidien pour la protection de l’environnement. Son objectif principal est de réduire l’utilisation des sacs en plastique. Belle façon de détourner l’attention sur le fait que la consigne des contenants vides à la SAQ, ça n’existe pas. C’est aussi une belle façon de faire oublier les millions de bouteilles d’alcool vides qui trainent dans nos décharges. Faire des sacs en cotons ne fait pas de la SAQ un bon citoyen corporatif en matière d’environnement, bien au contraire.
La Liquor Control Board of Ontario (LCBO), l’équivalent ontarien de la SAQ, fait la consigne des bouteilles de fort et de vin dans toutes ses succursales depuis février 2007 (http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/10985 ) Ce qui veut dire 80 millions de bouteilles qui reviennent en magasins pour être réutilisées et recyclées. La consigne rapporte entre 0.1$ et 0.2$ de la bouteille. Ça s’est se préoccuper de l’environnement et de la pollution. Quant aux sacs réutilisables, la LCBO fait aussi bien que la SAQ.
En refusant la consigne, les clients de la SAQ enverront en 2007 plus de 63 millions de bouteilles videsdans les dépotoirs. Et même si nous recyclions tout d’un coup toutes ces bouteilles, on parle bien ici de surconsomamation inutile. Une bouteille pourrait fort bien être réutilisée 10 à 20 fois avant d’aller au recyclage. La SAQ n’innove pas avec ses supposées solutions à long terme avec ses sacs à vie. Elle se propose de remplacer votre vieux sac réutilisable par un nouveau tout à fait gratuitement. Il faut bien entendu que votre autre sac soit bien élimé et usé pour faire l’échange. Wow! C’est formidable! Quelle conscience environnementale. On sent vraiment que la SAQ a compris la définition même du développement durable!
En terminant, la SAQ rappelle que si c’est votre premier sac à vie ou si vous n’avez pas votre vieux sac à échanger, il faut payer. Le sac de polypropylène est à 1$ et celui en coton est à 2,25$. 200 000 sacs en cotons ont été vendus depuis février 2006. Sur chaque sac acheté, 0,50$ sont versé à la Fondation de la faune du Québec. Ce qui fait un don de 100 000$ en 2006 qui fut remis le 31 mars 2007. Celui en polypropylène est nouveau. J’ai acheté un sac en coton, et je serais très heureux de l’utiliser pour ramener mes bouteilles vides à la consigne.
C’est bien beau de vouloir protéger les animaux menacés et leur habitat, mais c’est très contradictoire de ne rien faire pour empêcher 63 millions de bouteilles de se retrouver dans les décharges. Je cherche la logique mais je trouve pas.
Je ne veux pas dénigrer les efforts fait par la SAQ en matière de sacs réutilisables, mais je désire souligner en tant que Québécois et client mon désaccord total dans leur décision de ne pas faire de consigne de bouteilles vides. Si les épiciers font de la consigne, je ne vois pas pourquoi notre société d’état en situation de monopole ne le ferait pas. En 2007, un tel comportement corporatif est inacceptable. Je le maintient comme ne février 2007 et ce malgré les belles annonces d’aujourd’hui, la SAQ est un mauvais citoyen corporatif en matière d’environnement. Ce n’est même pas un jugement de valeur, c’est un fait vérifiable et incontestable. La SAQ est un éléphant qui vient d’accoucher d’une souris.
vendredi 8 juin 2007
Environnement
Dechetcom - Rapport - L’éthanol ferait-il la loi dans le mon...
L’éthanol ferait-il la loi dans le monde agricole?
L’éthanol est en train d’opérer une régulation du marché par le haut, aux Etats-Unis. Ce que n’a pas (encore) réussi à faire le ministère de l’agriculture français. Le prix du maïs a doublé et personne n’a vu venir cette progression fulgurante…Le maïs destiné à la production de biocarburant a raflé plus de 15% d’acres supplémentaires aux Etats-Unis qui consacrent désormais 8 à 10 millions d’hectares à la culture du maïs… Et rien ne semble freiner le développement des biocarburants dans le monde : ni le repli de cours du pétrole, ni les questions de rentabilité, ni les débats lancés par les septiques sur la compétition entre alimentaire et non alimentaire pour l’utilisation des terres…
Elisabeth Lacoste, Secrétaire générale de la Confédération des Betteraviers Européens, spécialiste en la matière, nous expose la situation mondiale…
L’extraordinaire développement du modèle brésilien qui se veut un exemple pour les pays du sud et l’exceptionnelle croissance de l’éthanol américain, dopée par le profit et par la nécessité de prévoir l’après pétrole génère peut être ce nouvel engouement qui a caractérisé l’ensemble des zones concernées. Un Président Bush qui se voit à la tête d’un nouvel OPEP de l’éthanol et un Al Gore luttant cotre le réchauffement climatique, illustrent la rupture constatée l’an dernier. La révolution apportée par les cultures énergétiques se confirme plus que jamais en 2007 et le bioéthanol gagne sa place dans le package énergétique…
Les Etats-Unis prennent la tête de peloton
Environnement
Redefinition of waste should increase recycling
Classifying a host of waste products as raw materials could break down the administrative barriers that currently make them difficult to reuse.
Cutting red tape will make it easier to turn millions of tonnes of industrial and commercial waste into usable materials, according to the Environment Agency and Government-funded recycling champion WRAP (the Waste & Resources Action Programme).
The initiative, the Waste Protocols Project, follows in the footsteps of a successful trial in this area which redefined composted waste that met certain standards as a
Non-waste product (see related story).
The second round of the project will focus on five major waste streams:
In addition the protocol will also look at the status of the by-products of anaerobic digestion, the technique of disposing of food waste favoured in the recently published Waste Strategy.
The project will set standards that the by-products must meet and, should they do so, will do away with the need for costly licensing to dispose of or transport waste.
It will also serve as a kitemark giving potential purchasers assurances that the recycled waste is fit for purpose.
Martin Brocklehurst, head of external programmes for the EA said: "According to industry figures, it currently costs them around £150m each year to landfill these five types of waste.
"The Waste Protocols Project will look at the current environmental risk posed by the five type of waste chosen today and wherever possible remove the need for companies to hold the permits and licences that they need.
"Part of our work is to set out an agreed standard for the treating and handling of a type of waste. If these are followed by the businesses that produce or reprocess the waste it gets rid of the "waste" tag, making the waste derived products more marketable and attractive to buyers."
WRAP's director of organics Dr Richard Swannell added: "Earlier this year we produced the first Quality Protocol, for compost which allowed producers to create a type of compost which is no longer classed as a waste, making it a more attractive product to those who buy it."
"This first protocol is testament to what is achievable through the collaborative working approach shown by the Environment Agency, WRAP business and industry.
"The five wastes we have announced today will go some way in helping reduce the amount of waste disposed in landfills every year as well as helping to create valuable products."
The Environmental Services Association, a trade body which represents many companies working in the waste management sector, has also welcomed the progress on the protocols.
"Waste protocols help clarify when materials are fully recovered, providing certainty to waste managers, recyclers and end users," said an ESA spokesman.
"Whilst supporting work on a number of protocols, ESA is particular pleased that incinerator bottom ash aggregate has been included, as this can play a valuable role in replacing virgin material, reducing the need for quarrying and reducing CO2 emissions from transport."
Sam Bond
Source: edie newsroom
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