L'utilisation depuis près d'un an par la multinationale PepsiCo de l'eau du robinet de Montréal pour remplir ses bouteilles d'eau de marque Aquafina offusque au plus haut point des organismes de défense et de protection de ce bien commun.
En choeur, ils réclament à l'administration Tremblay une modification radicale du régime fiscal afin de limiter ce qu'ils appellent le «détournement de l'eau du réseau public» vendue à prix fort par PepsiCo après une «transformation mineure». Un changement de cadre que la Ville n'envisage toutefois pas pour le moment.
«L'eau du réseau d'aqueduc de Montréal est une eau potable de qualité financée par les contribuables», a indiqué au Devoir Daniel Cayley-Daoust, de l'Institut Polaris, un groupe qui mène actuellement campagne pour un plus grand respect de l'eau au Canada et pour l'éradication de l'environnement des millions de bouteilles d'eau en plastique consommées chaque année. «Que cette eau publique soit puisée par une multinationale et embouteillée pour en tirer un profit, c'est tout simplement inacceptable.»
En choeur, ils réclament à l'administration Tremblay une modification radicale du régime fiscal afin de limiter ce qu'ils appellent le «détournement de l'eau du réseau public» vendue à prix fort par PepsiCo après une «transformation mineure». Un changement de cadre que la Ville n'envisage toutefois pas pour le moment.
«L'eau du réseau d'aqueduc de Montréal est une eau potable de qualité financée par les contribuables», a indiqué au Devoir Daniel Cayley-Daoust, de l'Institut Polaris, un groupe qui mène actuellement campagne pour un plus grand respect de l'eau au Canada et pour l'éradication de l'environnement des millions de bouteilles d'eau en plastique consommées chaque année. «Que cette eau publique soit puisée par une multinationale et embouteillée pour en tirer un profit, c'est tout simplement inacceptable.»
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